Au cœur de l'Histoire 6
Louis Mandrin Capitaine général des contrebandiers de France un bandit ou un héros ?
Louis Mandrin.
Mandrin est un contrebandier, un justicier, un gentilhomme, un grand stratège. Le héros qui soulève une armée de fourches et de bâtons, Mandrin est le premier révolutionnaire en haillons, l'homme le plus populaire de France.
Louis Mandrin
Mandrin, une sorte de Robin des bois pour les uns, un bandit pour les autres qui, à la fin du XVIIIe siècle, organisait un réseau de contrebande au nez et à la barbe de la Ferme générale (collecteurs d'impôts indirects), l'institution la plus puissante et la plus impopulaire de l'Ancien Régime.
Héros
Véritable héros aux yeux du peuple, il lui permettait d'acquérir à bas prix des produits coûteux comme le sel ou le tabac, des marchandises rares ou prohibées. Pour les autorités, il était l'homme à abattre. Mais l'histoire de Mandrin est hautement plus passionnante encore...
Vengeance
Nous sommes en 1754. Louis Mandrin a 27 ans. Mandrin veut se venger des fermiers généraux qu'il tient pour responsables de sa ruine et de la pendaison de son frère Pierre. C'est à lui en tant que chef de famille, de laver ces affronts...
Intérêts
Mandrin identifie à ses propres intérêts les intérêts de ceux dont il est responsable. De même que sa faillite affecte tout le clan, la pendaison de Pierre, en jetant l'opprobre sur sa famille, l'atteint personnellement dans son honneur.
Logique
Suivant cette logique, les "fautes" commises par quelques employés de la Ferme doivent être expiées par la compagnie toute entière.
Guerre
Au début de l'année 1754, Mandrin déclare la guerre à la puissante Ferme générale. La légende de Mandrin est en marche...
Régiments
Plusieurs régiments royaux dont ceux de Fischer et de La Morlière furent mobilisés pour barrer la route à Mandrin, fin stratège et homme rusé qui échappa systématiquement à ses poursuivants.
Voltaire
Voici ce qu'écrivait le célèbre écrivain Voltaire, un contemporain, le 14 janvier 1755 à-propos de Mandrin. :
Déterminés
On prétend que Mandrin est à la tête de 6 000 hommes déterminés ; que les soldats désertent pour se ranger sous ses drapeaux et qu'il se verra bientôt à la tête d'une grande armée, il y a trois mois, ce n'était qu'un voleur, c'est à présent un conquérant. Voltaire déclarait "Il va la vitesse de la lumière".
Capitaine
Il est vrai que Louis Mandrin "capitaine général des contrebandiers" se déplaçait avec une rapidité étonnante à travers le Dauphiné, la Provence, le Vivarais, le Forez, l'Auvergne, le Lyonnais, la Bourgogne et la Franche-Comté.
Carrière
Le 5 janvier 1754, la carrière de Louis Mandrin débute véritablement. Il effectuera 6 campagnes éclairs jusqu'à la chute, le 11 mai 1755.
Apparitions
Ses apparitions sont rapides et déterminées et ses premières campagnes (janvier-avril 1754 et juin-juillet 1754) sont facilitées par l'assentiment des populations.
Populaires
Les Mandrins vendaient leur tabac, indienne et autre mousseline de Suisse et de Savoie à des prix défiants la concurrence des fermiers généraux (le tabac de bonne qualité était vendu cinquante sous par les contrebandiers contre cinq francs par les buralistes des Fermes.) ce qui les rendit véritablement populaires.
Contrebandiers
Les contrebandiers étaient des hommes rapides à la boisson et savaient faire la fête quand il le fallait, c'est-à-dire assez souvent, ce qui était très agréable pour les aubergistes des tavernes et autres auberges qui affichaient souvent complet lorsque les contrebandiers venaient à s'y arrêter.
Réaction
Mais la Ferme va réagir en interdisant l'achat des produits de contrebande et en punissant sévèrement les contrevenants.
Méthode
Mandrin changera de méthode en vendant ses marchandises aux directeurs des Fermes sous la contrainte et au prix fort (juillet-août 1754).
Ferme
La Ferme, en grand danger, mènera une véritable chasse à l'homme en payant ses propres troupes régulières et en s'alliant avec le ministre de la guerre, le comte d'Argenson (août-septembre 1754).
Stratège
Mandrin peut dès lors montrer ses qualités de stratège et prendra sans beaucoup de difficultés des villes comme Bourg, Le Puy et Montbrison (octobre 1754).
Assauts
Il subira les assauts conjoints de trois régiments sous les ordres du colonel de la Morlière, de Fisher et de Fumel. Cette campagne les mènera dans le Jura, la Provence et l'Italie et sera ponctuée par la prise de Beaune, d'Autun et par le très difficile combat de Gueunand (décembre 1754).
Capturé
Louis Mandrin sera capturé le 11 mai 1755 dans le château de Rochefort en Novalaise, en Savoie, ce qui ne manquera pas de créer un incident diplomatique très grave entre la cour de Turin et celle du roi de France.
1 Campagne
Début : 5 Janvier 1754 / Fin : 8 avril 1754
2 Campagne
Début : 6 juin 1754 / Fin : 9 Juillet 1754
3 Campagne
Début :28 ou 29 juillet 1754 / Fin : Août 1754
4 Campagne
Début : 20 Août 1754 / Fin : 5 Septembre 1754
5 Campagne
Début : 4 Octobre 1754 / Fin : 29 Octobre 1754
6 Campagne
Début : 15 Décembre 1754 / Fin : Début Janvier 1755
Prochaine campagne
Mandrin et ses proches lieutenants se sont installés au château de Rochefort-en-Novalaise, à une lieue de la frontière française, propriété de M. de Polienc de Thoury. Ici, on recrute des hommes, on achète des chevaux, du tabac, mousseline et autres produits de contrebande.
Le trésor de Mandrin.
Butins
On raconte que Mandrin avait pris l’habitude de cacher ses butins dans des endroits qu’il nommait ses coffres-forts. Plusieurs d’entre eux auraient été localisés !
Cassette
Ainsi, une cassette serait encore enterrée dans le jardin de sa maison natale à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs (Isère). À Verel-de-Montbel (Savoie), il fera une cache dans les hautes roches qui entoure le village et y glissa une bourse remplie de pierres précieuses.
Vercors
Il enterra 25 000 livres en or en pleine forêt du Vercors là où Mandrin aimait à prendre ses quartiers.
Chevauchée
Lors de sa dernière chevauchée, il fut contraint de dissimuler à une lieue au-dessus d’Ambert (Puy-de-Dôme) le précieux chargement de quatre de ses chevaux qui, exténués, ralentissaient la course.
Caches
On parle aussi de caches aménagées dans le vieux château de Rochefort (Savoie) où il fut capturé en 1755 avant d’être exécuté. La combe des Malavaux abrite également un autre trésor dont l'authenticité historique n'est pas douteuse. Il s'agit d'un des nombreux trésors de Mandrin.
Trésor
Celui-ci cacha son trésor aux Malavaux, après sa désastreuse campagne de l'année 1754. En effet, après avoir raflé un fabuleux magot en Bourgogne et en Auvergne, et réalisé certains de ses plus fameux exploits aux dépens des employés des fermes, receveurs des greniers à sel et entreposeurs de tabac, le chevalier d'aventure fut pourchassé.
Escadrons
Plusieurs escadrons de dragons et hussards de M. de Fischer le traquèrent et finirent par le surprendre avec ses hommes, à Gueunand, en Côte d'Or.
Accrochage
Le contrebandier perdit quarante-deux hommes dans l'accrochage, dont deux de ses lieutenants, et décida d'abandonner le plat pays pour gagner le Bourbonnais.
Marche
À marche forcée, il traversa la Saône et la Loire, dépassa Moulins, puis s'enfonça dans la montagne, où, à deux reprises, il eut encore à affronter ses poursuivants.
Souterrain
Mandrin serait néanmoins parvenu à cacher son butin aux Malavaux, dans un souterrain ou une fosse creusée quelque part dans une colline, derrière l'auberge Le Relais de l'Empereur.
Colline
Cette colline, à l'est de la rivière, abritait alors deux petites carrières abandonnées depuis de nombreuses années.
Conservée
Le trésor de Mandrin a été conservée par une famille d'origine savoyarde fixée à Cusset, non loin des Malavaux, dont l'aïeul reçut des confidences de la bouche même de Mandrin, alors que celui-ci était conduit sur les lieux de son supplice.
Perdu
Hélas, le secret de l'emplacement exact a été perdu. Pour retrouver le trésor de Mandrin, il conviendrait, avant tout, de localiser les entrées des souterrains de la forteresse et l'emplacement des anciennes carrières.
Auberge
Et pour ce, l'auberge Le Relais de l'Empereur doit jouer un rôle de point de repère important.
Magots
Les Saint-Cheffois de vieille souche ont tous entendu parler de trésors ou de magots mystérieusement enfouis dans la campagne locale.
Hypothétique
Le plus hypothétique semble être celui de Mandrin qui aurait été enterré au pied d'un chêne, près du chemin qui traverse la forêt du Gaillot-Candit, entre les hameaux de La Biousse et La Rivoire.
Légende
Selon la légende, les grottes de Mandrin sur le site de la Bastille prés de Grenoble, situées non loin du restaurant le Pèr’Gras, cacherait le trésor de Louis Mandrin.
Creusées
Mais creusées en 1845, 90 ans après la mort du célèbre bandit natif de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs (38), elles peuvent difficilement dissimuler son butin.
Gévaudan
En 1754, il contraignit les entreposeurs des tabacs de Mende en Lozère, à lui acheter de nombreux ballots de cette herbe à Nicot, qu'il avait au préalable soustraits aux mêmes entreposeurs ou leurs confrères du Velay.
Mende
La Légende veut qu'à Mende, le célèbre contrebandier ait habité la maison Oziol, rue d'Aigues Passes, la maison dont la façade abrite la Pieta du XVIe siècle.
Caché
Là, il aurait caché un fabuleux trésor qui n'a jamais été découvert.
Proverbe
On rapporte donc que tous les butins de Mandrin n'auraient pas été trouvés. Un vieux proverbe occitan, attribué aux contrebandiers, donne l'emplacement d'une de ses caches vers Devesset en Ardèche.
Occitan
"Quau troubarès tri rioulous, tri vouargès, un agrevon, tri pèiras sous un pinaton, l'escoudaillo ès dessous !"
Signification
Ce qui signifie approximativement quand tu trouveras trois rigoles, trois noisetiers, un arbre à houx, trois pierres sous un petit pin, la cachette est dessous !
Cache
Que trouverons-nous dans cette cache ? Une caisse d'écus en or. Voilà de quoi donner des idées à tous nos aventuriers baladeurs !
Remarque
Une remarque cependant : depuis l'époque des faits, notre paysage s'est considérablement modifié, et il y a fort à parier que ces indices ont été sérieusement perturbés par l'activité humaine.
Conclusion
Amis fouilleurs et chercheurs de trésor, vous recherchez le trésor de Louis Mandrin (ou le film documentaire du même nom) ? Vous l'avez trouvé ? N'hésitez pas à nous faire un commentaire ou à partager votre butin !
La ville de Lyon en 1700
Quais de Saône,vue sur Fourvière.
Objectif
L'objectif est de restituer la ville entre la place Bellecour et la place des Terreaux, pour permettre une visite virtuelle du centre historique de la presqu'île disparu quasi intégralement.
Illustrations
Avec des commentaires et des illustrations agrémentant la visite selon le lieu où le visiteur se trouve.
Conducteur
La restitution permettra donc de servir de fil conducteur pour présenter des documents d'archives pouvant intéresser le public, gravures, peintures, plans ou autres.
Quais de Saône.
Ville
Elle permettra également de présenter des articles concernant tel ou tel bâtiment ou secteur de la ville. Au 18e siècle
la ville poursuit sa densification.
Rue Mercière.
Presqu'île
En presqu'île, des clos religieux sont vendus et lotis, et de nouveaux immeubles apparaissent. Le grand architecte du siècle est Jacques-Germain Soufflot.
Hôtel-Dieu
À son actif, la construction du quai saint-Clair sur le Rhône au nord des Terreaux, et surtout la reconstruction de l'Hôtel-Dieu, dont la silhouette marque la rive droite du Rhône Il revisite également la loge du change.
Rue de la Basse Grenette.
Extension
Ce n'est qu'à la fin du siècle que la ville entame une réelle expansion. L'ingénieur Perrache conçoit l'extension de la presqu'île au sud par l'assainissement du confluent.
Rue de la Pêcherie.
Morand
L'architecte Morand imagine quant à lui un pont sur le Rhône et un nouveau quartier en rive gauche en face de l'hôtel de ville.
Avancées
Ces avancées se poursuivront surtout au siècle suivant.
Rue de l'Hôpital.
Révolution
À Lyon, la révolution française est marquée par un constant décalage politique entre Paris et Lyon. Lyon est radicale quand Paris se tempère, et vice-versa.
Siège
Ces « malentendus » aboutissent au siège de Lyon par les armées nationales en 1793. Cet épisode est entré plus tard dans la légende lyonnaise comme emblématique de la période.
Eugène-François Vidocq
Eugène-François Vidocq, né à Arras le 24 juillet 1775 mort à Paris le 11 mai 1857.
Ce que retiendra la postérité, c’est qu’Eugène-François Vidocq fut, grâce au succès de ses Mémoires parus sous la Restauration, le père du roman policier.
Récits
D’abord, ses récits, probablement très arrangés, constituent une mine pour un auteur à la recherche de sujets.
Détectives
D’autre part, l’homme lui-même fut l’un des premiers détectives privés de notre histoire, ayant fondé une agence au service des particuliers après son éviction de la police officielle.
Incendie
Pour le reste, on ne sait rien de sûr en raison de l’incendie des archives de la Préfecture de police en 1871.
Né
Il serait né à Arras, le 24 juillet 1775, d’un père maître boulanger et aurait fait preuve très tôt d’aptitudes pour le vol et la débauche.
Condamné
Travailla-t-il chez un acrobate ? Fut-il déserteur ? Ce qui est certain, c’est qu’il fut condamné au bagne et qu’il n’eut de cesse d’en sortir.
Henry
La chance lui sourit en la personne d’Henry. Chef de la deuxième division à la Préfecture de police, celle dont relevaient les affaires criminelles et le sommier général contenant le signalement des prévenus de délits graves.
Surnommé
Surnommé « l’ange malin » par le monde des escarpes, il lui avait paru efficace d’embaucher d’anciens bagnards pour lutter contre les chourineurs, les faux-monnayeurs et autres voleurs à la tire.
M. Henry
« M. Henry avait, avec ma permission, fait sortir de Bicêtre où il était détenu à la suite de deux ou trois évasions des bagnes de Brest et de Toulon.»
Services
Un sieur Vidocq. Déjà, il avait dans la prison de Bicêtre rendu à la police d’importants services, et on lui avait dû d’utiles avertissements, fondés sur les relations que les voleurs enfermés trouvent toujours moyen d’entretenir avec ceux du dehors.
Renseignements
« M. Henry avait donc jugé qu’il pourrait, si on le mettait en liberté dans Paris découvrir de précieux renseignements , et il ne s’était pas trompé ».
Confiance
Mais il ajoute : « Cette confiance publiquement accordée, et avec tant d’abandons, à un homme condamné, a été d’un très mauvais effet et elle a beaucoup contribué, en plusieurs occasions, à déconsidérer la police »
Raisons
On ignore les raisons qui poussèrent Vidocq à trahir son milieu. Peut-être accepta-t-il de devenir le pourvoyeur du bagne pour cesser d’en être le locataire. C’est la raison que donne Balzac dans sa dernière incarnation de Vautrin, un personnage inspiré par Vidocq.
Brigade
En 1811, fut créée une brigade spéciale uniquement recrutée parmi les forçats plus ou moins repentis. Vidocq en eut la direction et fut rémunéré sur les fonds secrets. Il s’installa rue Sainte-Anne. Henry s’étant retiré en 1822.
Chef
On le regretta. Et, le 31 mars 1832, il devenait chef de la police de sûreté. Les attaques reprirent : il fut accusé d’avoir dirigé la répression qui suivit le soulèvement de juin 1832 et La Tribune le présenta sous les traits d’un agent provocateur.
Mémoires
Gisquet, nouveau préfet de police, préféra sacrifier son agent. Jusque-là, écrit-il dans ses Mémoires, on pensait généralement qu’on ne pouvait faire la police des voleurs qu’avec des voleurs, je voulus essayer de la faire faire par des gens honnêtes.
Accord
Le 15 novembre 1832, Vidocq donnait son accord en se retirant pour la seconde fois. La Sûreté fut réorganisée sous Allard, mais Vidocq, grâce aux rééditions de ses Mémoires, resta un homme en vue.
Le célèbre feuilleton TV avec Claude Brasseur.
Inspiré
Vidocq a inspiré le Vautrin de Balzac, le Jean Valjean de Victor Hugo et le Jackal des Mohicans de Paris de Dumas.
Sans oublier la fameuse série TV.
Hitler sauvé de la noyade à 4 ans ?
Adolf Hitler.
« C'est peut-être l'acte de miséricorde le plus dévastateur de l'Histoire ». Dans un style inimitable, The Daily Mail nous raconte une histoire extraordinaire.
Sauvé
Le monde aurait pu ne jamais entendre parler d'Adolf Hitler si un futur prêtre ne l'avait sauvé de la noyade à 4 ans à Passau, en Allemagne.
C'est un article du Donauzeitung-Danube de janvier 1894 qui refait surface grâce à des historiens allemands.
journal
Un jeune garçon est tombé dans les eaux glacées de la rivière Inn et un « camarade déterminé » (le Donauzeitung était classé à gauche, souligne le Daily Mail) a plongé pour le sauver.
Sauveteur
Le courageux sauveteur, qui avait alors à peu près le même âge qu'Hitler, s'appelait Johann Kuehberger et est par la suite devenu prêtre.
Hitler
C'est son successeur, le père Tremmel, qui a raconté l'anecdote en 1980. L'article en question ne donne pas le nom de l'enfant sauvé des eaux, mais les historiens s'accordent pour dire qu'il est très probable qu'il s'agisse d'Hitler, explique The Telegraph.
Histoire
« Tout le monde connaissait cette histoire à Passau. Certains disent aussi qu'il n'a jamais appris à nager et avait besoin de lunettes. »
Tombé
« En 1894, alors qu'il jouait avec un groupe d'enfants Adolf est tombé dans la rivière. »
Courant
« Le courant était très fort et l'eau glacée. Heureusement pour le jeune Adolf, le fils du propriétaire de la maison où il vivait a pu le sortir à temps et ainsi lui sauver la vie. »
Radio
Une radio bavaroise va y consacrer une émission, rapporte le Daily Mail. À cette occasion, des témoignages devraient venir confirmer l'histoire.
Jouait
Hitler, plus tard, a raconté à ses généraux qu'il jouait souvent aux Indiens et aux cowboys sur les rives de l'Inn, mais n'a jamais parlé de l'épisode de la quasi-noyade.
Buzzati
Buzzati, dans Le K, avait lui aussi imaginé l'enfance d'Hitler. Dans la nouvelle, le petit Dolphie joue dans un parc, auprès de la rivière.
L'enfant « maigrichon, souffreteux, blafard, presque vert ne tombe pas à l'eau. »
Surnommé
« Mais souffre d'être surnommé Laitue par les autres petits garçons, qui ne veulent pas jouer avec lui. »
Date de dernière mise à jour : 14/05/2024