Les mystères du Skinwalker Ranch : réalité paranormale ou supercherie ?

Les mystères du Skinwalker Ranch.

Le Skinwalker Ranch est une propriété isolée en Utah qui fascine les passionnés de phénomènes surnaturels et d’OVNIS. Depuis les années 1970, de nombreux récits extraordinaires ont été rapportés sur cette propriété, qui serait le théâtre de manifestations étranges et inexpliquées.

Sceptiques

Mais les sceptiques doutent de l’authenticité de ces récits et affirment qu’il n’existe pas de preuves solides pour les étayer.

Nom

Le Skinwalker Ranch doit son nom à la mythologie des Navajos, un peuple indigène dont les récits mentionnent des "skin-walkers". Ce sont des chamanes et des sorcières capables de se changer en animaux. Ces êtres auraient été envoyés par les Navajos pour tourmenter la tribu Ute rivale.

Rivalité

Cette rivalité séculaire alimente les spéculations sur les phénomènes surnaturels persistants autour du ranch. Depuis 2020, History Channel diffuse une série documentaire intitulée "The Secret of Skinwalker Ranch". Elle suit les recherches menées par une équipe de scientifiques sur la propriété.

Brandon Fugal

L’équipe est dirigée par Brandon Fugal, un investisseur immobilier passionné par l’inexpliqué. Il a acheté le ranch en 2016 et a accepté de permettre à une équipe de tournage d’accéder à la propriété.

Équipe 

L’équipe a mené des "enquêtes scientifiques" approfondies pour tenter de confirmer l’existence des phénomènes étranges associés au ranch. La série a connu un tel succès qu’elle a été renouvelée pour une troisième saison en 2021.

Ranch

Le ranch a changé plusieurs fois de propriétaire. Ils ont tous été confrontés à des événements inexpliqués et perturbants. La famille Sherman a acheté le ranch en 1994.

Observations

Elle a rapporté des observations de créatures fantastiques, de lumières étranges, de marques circulaires, de voix sans corps et de mutilations de bétail. Elle a vendu la propriété en 1996 et est partie.

Robert Bigelow

Le ranch a été acquis en 1996 par Robert Bigelow, un riche passionné d’OVNI. Il a créé le National Institute for Discovery Science (NIDSci) en 1995.

Recherche

Le NIDSci était consacré à la recherche de phénomènes paranormaux. L’équipe du NIDSci a vécu des rencontres troublantes similaires à celles de la famille Sherman. Mais elle n’a pas pu fournir des preuves convaincantes pour confirmer les récits mystérieux.

Une petite rivière traverse la propriété du Skinwalker Ranch.

Colm Kelleher

Colm Kelleher, co-auteur du livre Hunt for the Skinwalker en 2005 et membre du NIDSci, a exprimé ses frustrations. En 2016, le ranch a été vendu à Brandon Fugal, un investisseur immobilier passionné par l’inexpliqué.

Tournage

Il a permis à une équipe de tournage d’History Channel d’accéder à la propriété. L’équipe a mené des "enquêtes scientifiques" approfondies. Mais les résultats des enquêtes n’ont pas été aussi concluants que prévu.

Pentagone

Le ranch a aussi attiré l’attention du Pentagone. Il a fait partie du programme Advanced Aerospace Threat Identification Program (ATTIP). Ce programme avait pour mission d’enquêter sur les OVNIS.

Harry Reid

Il a été lancé en 2007 par Harry Reid, alors chef de la majorité au Sénat américain. Il a reçu un financement de 22 millions de dollars sur cinq ans. Le programme a été clôturé en 2012, mais le gouvernement américain continue de s’intéresser aux phénomènes aériens non identifiés.

Intérêt

Certains considèrent l’intérêt du Pentagone pour le Skinwalker Ranch comme une preuve supplémentaire que quelque chose d’étrange et d’inexpliqué se produit sur cette propriété isolée. Mais les sceptiques doutent de l’authenticité de ces récits. Ils affirment qu’il n’existe pas de preuves solides pour les étayer.

Robert Sheaffer

Robert Sheaffer, écrivain et sceptique envers les OVNIS, pense que "le ‘phénomène’ à Skinwalker est presque certainement illusoire". Il dit que "très peu de choses semblent s’être produites" et que les documents du Pentagone ne sont pas concluants.

Famille

Il est intéressant de noter que la famille qui a possédé la propriété avant les Sherman y a vécu pendant plus de 60 ans. Elle n’a jamais rapporté d’expériences similaires aux étrangetés du ranch.

Phénomènes

Ces observations suggèrent que les phénomènes se sont concentrés autour de Terry Sherman. Il est devenu gardien de la propriété après la vente du ranch à Bigelow. 

Des chercheurs de Harvard affirment qu'une civilisation inconnue se cache sur Terre depuis des milliers d'années

La Terre / Image d'illustration.

Des scientifiques très sérieux de la célèbre Université de Harvard émettent l'hypothèse surprenante qu'une civilisation inconnue et technologiquement évoluée pourrait se cacher sur notre planète depuis des millénaires. Et si nous n'étions pas seuls sur Terre ?

Civilisation

Non, nous ne parlons pas d'extraterrestres venant de l'espace, mais plutôt d'une civilisation mystérieuse cachée parmi nous, utilisant des technologies sophistiquées pour rester invisible.

Idée

Cette idée pour le moins surprenante n'a rien de fantaisiste : elle vient même d'une très sérieuse équipe de chercheurs de l'Université de Harvard et du Montana, qui suggèrent dans un article que les OVNIS et autres "phénomènes anormaux non identifiés" pourraient bien être des preuves de l'activité de ces êtres cachés.

Pilotes

Depuis des décennies, des pilotes militaires et des témoins divers rapportent des observations de mystérieux objets volants, souvent décrits comme des "orbes" ou des "vaisseaux". Ces objets semblent parfois entrer ou sortir de volcans ou de zones maritimes profondes, laissant les chercheurs perplexes.

Preuves

Face à l'absence de preuves tangibles d'une vie extraterrestre, certains scientifiques se tournent vers des explications plus exotiques.

Hypothèses

Parmi ces hypothèses, les chercheurs avancent l'idée qu'une civilisation humaine très avancée pourrait avoir survécu depuis des millénaires, se cachant sous terre ou dans les profondeurs des océans. Une autre possibilité serait l'évolution indépendante d'une espèce intelligente, peut-être même à partir des dinosaures.

Créatures

Imaginez des créatures évoluées vivant sous nos pieds, maîtrisant des technologies que nous ne comprenons pas encore.

Théories

D'autres théories encore plus incroyables évoquent des visiteurs venus d'une autre planète ou d'une autre période temporelle. Ces êtres pourraient avoir trouvé refuge sur Terre, utilisant des moyens technologiques pour se dissimuler parmi nous.

Ces êtres pourraient avoir trouvé refuge sur Terre, utilisant des moyens technologiques pour se dissimuler parmi nous / Image  d'illustration.

Population

Certains vont même jusqu'à dire qu'ils pourraient se fondre dans la population humaine, se faisant passer pour des gens ordinaires.

Cryptoterrestres

Cette idée de "cryptoterrestres" cachés est soutenue par des observations d'ovnis entrant et sortant de points d'accès souterrains, comme des volcans.

Mike Gallagher

Ces phénomènes intriguent les scientifiques et alimentent les théories les plus audacieuses. Par exemple, Mike Gallagher, ancien représentant de la Chambre des États-Unis, a suggéré qu'une civilisation ancienne pourrait se révéler maintenant après des millénaires de dissimulation.

Phénomènes

Tout en admettant que ces idées sont très spéculatives, les chercheurs de Harvard, insistent sur la nécessité de les considérer sérieusement. Ils soulignent que les phénomènes observés sont si étranges qu'ils pourraient nécessiter des explications non-conventionnelles.

Avi Loeb

Avi Loeb, astrophysicien à Harvard, avance même que des civilisations anciennes pourraient avoir existé sur Mars ou sur Terre, séparées par des milliards d'années, sans jamais se croiser.

Scientifiques

Même si ces hypothèses semblent sortir tout droit d'un film de science-fiction, les scientifiques insistent sur l'importance de garder l'esprit ouvert. La vénérable NASA a d'ailleurs ouvert ses portes aux chercheurs pour explorer des objets mystérieux à grande vitesse repérés par des pilotes militaires au fil des ans.

Mystère

Les phénomènes d'OVNIS restent un mystère, et il est crucial d'explorer toutes les pistes, même les plus improbables, pour tenter de comprendre ce qui se passe réellement.

1953 : Arizona crash d'OVNI à Kingman

kingman OVNI Crash / Image d'illustration.

Il a été publié qu'un OVNI s'est écrasé le 20 mai 1953 près de la ville de Kingman, dans le désert de l'Arizona. Un témoin a signé une déclaration sous serment.

Référence

La référence la plus ancienne d'un accident près de Kingman a été le récit fait au chercheur Richard Hall du MUFON, ancien du NICAP, en avril 1964 par un futur commandant du Vietnam.

Raymond Fowler

Le cas de la récupération de l'OVNI de Kingman a été ensuite porté à la connaissance du public par Raymond Fowler, un chercheur en ufologie respecté, en juin 1973. Il implique un ingénieur qui a pris des mesures préliminaires pour évaluer la vitesse d'un engin s'étant écrasé, mesures utiles pour les efforts de "reverse-engineering."

Ingénieur

L'ingénieur qui a mis cette histoire en évidence était Arthur G. Stancil (précédemment connu sous le pseudonyme "Fritz Werner").

Arthur G. Stancil

Stancil est diplômé par l'Université de l'Ohio en 1949 et a été employé d'abord par l'Air Material Command à la base aérienne de Wright-Patterson à Dayton, Ohio, en tant qu'ingénieur mécanicien sur les moteurs d'avions d'essai de l'Armée de l'Air.

Eric Wang

C'est le Dr. Eric Wang qui a été suspecté de mener une équipe de désossage sur l'engin extra-terrestre dirige la Division des Installations au bureau des études spéciales où Arthur Stancil travaillait. Stancil a signé une déclaration sous serment pour garantir légalement l'honnêteté de son témoignage, qui a été publié par Ray Fowler dans UFO Magazine en avril 1976.

Ingénieur

Stancil a indiqué qu'il a été affecté temporairement à la Commission de l'Energie Atomique en tant qu'ingénieur de projets sur quelques essais de bombes atomiques désignés sous le nom "Operation Upshot Knothole".

Lieu

Le lieu de ces essais était Frenchman's Flat à l'extrémité méridionale de la zone d'essai du Nevada. Le directeur des essais était le Dr. Ed Doll. Le 21 mai 1953, Stancil a été appelé par son supérieur pour effectuer une tâche spéciale à la base aérienne d'Indian Springs, où il a été rejoint par 15 autres spécialistes.

Phoenix

Ils ont été transportés en avion militaire vers Phoenix où ils sont montés à bord d'un bus aux fenêtres opaques dans lequel ils ont circulé près de quatre heures.

Destination

Quand ils sont arrivés à leur destination quelque part au sud-est de Kingman dans les contrepentes des montagnes de Hulapai, ils ont reçu des instructions par un colonel de l'Armée de l'Air qui leur a dit qu'ils devaient étudier un engin d'essai accidenté ultra secret.

kingman OVNI Crash / Image d'illustration.

Vitesses

On leur a interdit de communiquer entre eux quelles que soient les circonstances. Le travail de Stancil était de déterminer les vitesses horizontales et verticales du véhicule quand il s'est écrasé dans le sable.

Escorté

Stancil a été escorté vers l'emplacement par la police militaire. Deux lampes militaires éclairaient la soucoupe, qui semblait formée de deux plats convexes ovales inversés au-dessus de l'un l'autre, d'approximativement 30 pieds de diamètre (9,14 mètres)

Soucoupe

La soucoupe était enfoncée dans le sable d'environ 20 pouces (50,8 centimètres). À partir de cela Stancil avait déterminé que la soucoupe s'est écrasée à une vitesse de 100 noeuds (185,2 kilomètre par heure), pourtant elle n'avait ni bosselures, des marques, ni même d'éraflures sur sa surface.

Engin

L'engin était construit avec du métal argenté mat comme de l'aluminium brossé. Un autre spécialiste a jeté un oeil à l'intérieur de l'engin, car une trappe de 1,5 x 3,5 pieds (30,50 centimètres x 91 cms) était ouverte sur une carlingue intérieure ovale avec deux sièges pivotants et de nombreux instruments.

Corps

Stancil vit le corps d'une des victimes de l'accident. C'était un humanoïde, d'environ 4 pieds (121,92 centimètres) de taille, avec une peau brune et une tenue argenté ajustée. Tandis qu'ils étaient de retour au bus et devaient signer un engagement de respect du secret, on leur expliqua qu'ils ne devraient jamais rien dire de ces événements.

Créature

Stancil affirme également y avoir vu le corps d'une petite créature d'environ 4 pieds à l'intérieur d'une petite tente médicale. La créature portait un calot sur le crâne et un costume d'une seule pièce argenté.

Vérifications

Fowler a fait plusieurs vérifications quant à l'intégrité de Stancil et chacun de ceux qui le connaissaient a indiqué qu'il est un homme de très grande intégrité et de compétences scientifiques considérables.

Histoire

Une autre histoire semblant confirmer ce crash près de Kingman est parvenue à l'ufologue Len Stringfield en 1977. Un homme qui était dans la garde nationale chez Wright Patterson a réclamé qu'il a été témoin d'une livraison provenant du lieu d'un accident en Arizona en 1953.

Glace

Il a dit que 3 corps avaient été récupérés et ont été emballés dans de la glace sèche, les têtes étaient grandes, la taille de 4 pieds (121,92 centimètres) et la peau brunâtre.

Témoins

Depuis lors plusieurs autres témoins se sont présentés, sur lesquels je manque encore d'informations : Une histoire presque identique a été rapportée au chercheur Charles Wilhelm en 1966 par un homme qui a dit que son père lui avait fait le même récit sur son lit de mort.

Jarod-2

En 1995 un homme qui se faisait appelé par le nom de code de Jarod-2, est entré en contact avec la publication sur Internet The Groom Lake Desert Rat (https://www.ufo- mind.com/area51/desert_rat) et a rapporté qu'il avait travaillé pour l'U.S. Air Force sur un projet secret qui était une tentative de construire un simulateur de soucoupe en vol.

Le photographe Matt Adams sur le site d'un prétendu crash d'OVNI en 1953 près de Kingman, en Arizona.

Projet

Le projet avait commencé à la fin des années 40 et avait rassemblé du matériel à partir des lieux des accidents de Roswell et Kingman.

Travaillé

Stancil a travaillé pour Raytheon à Sudbury, dans le Massachusetts tôt dans les années 70 sur des systèmes d'avionique. On ne sait pas s'il a eu davantage affaire avec la technologie extra-terrestre, mais c'est probable, car il a travaillé pour le Dr. Wang à un certain moment.

Dr. Wang

Le Dr. Wang était un diplômé d'origine autrichienne de l'Institut Technique de Vienne, et associé de Victor Schauberger qui aurait développé un concept de disque volant, en réalité de turbine, et avait selon la légende travaillé sur le programme allemand de soucoupe volante dès 1941.

Université

Wang enseignait la technologie structurale et métallurgique à l'Université de Cincinnati de 1943 à 1952. Wang aurait examiné des OVNIS accidentés récupérés et les auraient comparé aux soucoupes alléguées du programme V-7 allemand, et aurait conclu à la nature extra-terrestre de ces engins.

Directeur

En 1949, il est devenu directeur du département des études spéciales à Wright-Patterson où il a travaillé de longues heures en coopération avec des scientifiques du bureau de la recherche navale et avec le Dr. Vannevar Bush et d'autres du "conseil de recherches et de développement".

Bureaux

Le Dr. Wang a déplacé des bureaux de recherches de Wright-Patterson à Kirtland AFB à Albuquerque, Nouveau-Mexique. Il est décédé le 4 décembre 1960.

Leonard Stringfield

Curieusement, Leonard Stringfield, qui a rouvert le dossier des récupérations d'OVNIS, a mentionné le témoignage qu'il avait obtenu d'un officier du Renseignement Naval qui avait vu des corps provenant d'un accident qui s'est produit dans le désert de l'Arizona en 1953.

Caisses

Il a vu les corps à Wright-Patterson quand les caisses sont arrivées la nuit à bord d'un DC-7. Il y aurait eu cinq caisses en tous, trois d'entre elles auraient contenu de petits humanoïdes d'environ quatre pieds (121,92 centimètres).

Têtes

Leurs têtes étaient chauves et disproportionnées, trop grandes, la peau semblait brune sous les lumières du hangar. Ils portaient des costumes foncés bien ajustés. Quelques chercheurs ont suggéré le que ces corps pourraient provenir de l'accident mentionné par Stancil.

Un chercheur ajoute :

"Il y avait seulement deux sièges dans l'engin. Comme toujours il y a plus de questions que de réponses, mais personne à interroger au sujet de ces événements à moins que quelqu'un d'autre qui en était ajouté son témoignage."

En effet Stancil était un participant et a fait son pas en avant avec une déclaration sous serment. Le commandant du Vietnam qui a rapporté l'histoire en 1964 est une piste intéressante. Naturellement, si un témoin additionnel se présentait, le cas paraîtrait encore plus sérieux. Il y a des indications d'un autre accident d'OVNI en Arizona en 1953, le 18 avril, dont les 3 corps mentionnés dans l'histoire de Springfield pourraient provenir.

Un chercheur ajoute :

"Aussi étrange que cela puisse sembler, c'est pendant les années 50 que diverses compagnies d'aviation ont lancé des projets de recherche sur le contrôle de la gravitation et la propulsion électrogravifique. Il est possible que ces projets aient constitué certaines des premières tentatives de reverse engineering sur des systèmes de propulsion extraterrestres."

Mais nous n'avons vu aucun résultat positif. Naturellement, l'Air Force aurait tenté le reverse engineering, et a peut-être favorisé de tels projets de recherche, mais cela ne pouvait être qu'un échec : comprendre des engins volants aussi avancés exigerait une bonne compréhension de la physique utilisée, et la maîtrise de technologies de fabrication. Si vous aviez fourni une navette spatiale à désosser aux frères Wright, ils n'auraient rien appris d'utilisable pour leur réalisation d'un avion. À moins que... vous leur avez aussi expliqué la physique et fourni la technologie. Ce qui peut donner à penser.

Références :

"UFO Crash at Roswell", livre par Kevin Randle et Don Schmitt, pp.250-251, Avon Books, USA, 1991, ISBN: 0-380-76196-3
"UFO: Crash Retrievals", livre par Jenny Randles, R-U., 1995.

Un nuage ressemblant à un OVNI apparaît au Japon

Apparition d'un nuage dans le ciel de Kurobe, au Japon, le mardi 9 janvier 2024,

L'apparition d'un nuage en forme d'OVNI dans le ciel de Kurobe, au Japon, le mardi 9 janvier 2024, a suscité des discussions sur les réseaux sociaux japonais. Actuellement, on ne sait pas exactement de quoi il s'agit.

Hypothèse

Certains ont émis l'hypothèse que ce nuage étrange pourrait être un nuage sismique, considéré par certains comme le précurseur d'un tremblement de terre. D'autres ont pensé voir un OVNI provenant de l'espace.

Experts

Selon les experts, aucun nuage ne peut prévenir d'un futur tremblement de terre. Reste donc à découvrir quel est le procédé scientifique qui permet ce type de phénomène.

France : OVNIS au-dessus des centrales nucléaires 

En 2014 et 2015 en France correspondent à une vague de survols sans précédent des centrales nucléaires par des engins a priori non identifiés / Photo d'illustration.

D’un côté les OVNIS, objets volants dont on ne connaît ni la nature ni l’origine, de l’autre la technologie nucléaire, capable d’éradiquer toute vie sur Terre en un funeste souffle. Si le lien entre les deux ne semble pas évident, on dénombre pourtant, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, un nombre impressionnant de survols, par ces engins, de centrales civiles et militaires. Enquête sur un phénomène stupéfiant.

Vague

2014 et 2015 en France correspondent à une vague de survols sans précédent des centrales nucléaires par des engins a priori non identifiés. D’octobre 2014 à février 2015, 17 des 19 sites nucléaires ont ainsi été survolés de nuit, en toute impunité.

Directeur

Un directeur national d’EDF les qualifiera, sur une chaîne de télévision, « d'engins volants non identifiés », tandis que le directeur de la centrale du Blayais (Gironde) a déclaré « Ici, on n’a pas vu de drone, on a vu un OVNI. » Greenpeace, habitué des survols pour des opérations de communication, déclarera « Nous sommes très inquiets de la survenue et de la répétition de ces survols suspects sans qu’aucune réponse sur leur origine ne soit fournie ni par EDF ni par les forces de l’ordre.

Sites

Car les sites nucléaires sont vulnérables, tout particulièrement par les voies aériennes. Pascal Fechner est l’actuel directeur du Mufon France, le plus ancien organisme privé indépendant de recherche sur le phénomène OVNI. Il explique que « plusieurs sites ont été survolés de façon concomitante.

Drones

On a parlé de drones, sauf qu’il n’y a aucune explication officielle quant à la concomitance de ces survols, qui nécessitaient des moyens techniques très importants et une prise de risque avérée ».

Doutes

Si peu de doutes subsistent quant aux survols répétés de centrales nucléaires, quelle intention peut-on y lire ? Puisqu’aucun incident découlant de ces incursions n’a été déclaré à ce jour, malgré la supériorité technologique des engins, il n’y aurait donc pas de volonté de nuire. Et si, au contraire, ils souhaitaient nous prévenir, ou nous protéger des dangers du nucléaire ? 

Robert Hastings

C’est la théorie de Robert Hastings « Une possibilité serait que les OVNIS, s’ils sont pilotés par des aliens, sont utilisés pour interférer, ici et là, avec les armes nucléaires américaines, peut-être pour transmettre le message que les humains "jouent avec le feu" et que, par la simple présence du nucléaire, nous mettons en péril l’avenir de l’humanité. »

Guerre

« Une guerre nucléaire à grande échelle serait catastrophique pour la civilisation et l’intégrité de la planète, à cause des radiations. »

Intelligences

Les intelligences à l’œuvre, auraient-elles une conscience écologique ? Pour Nicolas Dumont, psychologue clinicien et psychothérapeute transpersonnel qui est intervenu auprès d’une centaine de personnes victimes d’abduction (des rencontres avec des entités non-humaines en états modifiés de conscience), cela ne fait aucun doute.

Survol

« L’année du survol des centrales nucléaires par les fameux "drones", une abductée avait reçu deux mois avant le message de ses "visiteurs" qu’une action serait faite autour des centrales pour éveiller l’attention civile au fait d’arrêter le nucléaire maintenant. il s’en est suivi le survol de toutes les centrales par des "drones", action qui n’a jamais à ma connaissance été revendiquée... Par contre, on a de nombreux témoignages affirmant que ces survols étaient le fait d’OVNIS. »

Message

Il confirme d’autre part un message souvent relayé par ses patients : « Dans le discours des abductés, la question du nucléaire est souvent prise dans les messages d’avertissement écologiques. »

« Ce n’est pas seulement le nucléaire qui est pointé, mais la destruction de toute vie sur notre planète, par tous les moyens que nous avons créés pour cela. »

Certains témoignages évoquent même l’idée que certains essais nucléaires perturberaient l’ensemble de l’Univers. On pourrait y lire une invitation à voir « plus loin », à sortir de l’illusion de notre omniscience, comme le suggère Nagib Kary.

Corrélations

« Les corrélations entre les OVNIS, l’atome, l’écologie et la conscience, qui est primordiale dans l’étude de ce phénomène, sont, à mon sens, aujourd’hui quasiment évidentes. L’attitude de l’être humain suite à la découverte de l’atome est identique à celle d’un enfant qui vient de déballer son cadeau de Noël. »

Surveillance

« Et c’est selon moi à ce moment que nous avons été mis sous surveillance très accrue, car nous risquons non seulement de causer des dégâts irréversibles sur notre belle planète, mais également dans les galaxies, voire même sur les dimensions qui nous entourent. »

OVNIS : plusieurs vols ont remarqué des lumières étranges au Québec

La lueur orangée est visible dans le ciel drummondvillois, dans le secteur Saint-Nicéphore.

Il est assez fréquent que des observations d'objets volants non identifiés (OVNI) soient signalées dans différentes régions du monde, y compris au Québec. Ces observations peuvent être liées à divers phénomènes atmosphériques, astronomiques, ou parfois à des activités humaines telles que des vols d'aéronefs militaires ou civils. Il est important de noter que le terme OVNI ne signifie pas nécessairement une présence extraterrestre, mais plutôt un objet dont l'origine n'est pas immédiatement identifiable.

Cas

Dans de nombreux cas, des explications naturelles ou conventionnelles peuvent être trouvées après enquête.

Vols

Le 12 février 2023, au moins trois vols différents ont rapporté « avoir vu des lumières très étranges dans le ciel » qui « se déplaçaient de manière rapide et irrégulière » en passant au-dessus du Québec.

Lumière

« Ça ressemblait à plus d'une lumière et ça tournait un peu », a mentionné un membre d'équipage à bord d'un vol de Chicago en direction du Luxembourg aux contrôleurs de la circulation aérienne au Canada, selon un enregistrement audio obtenu par CTVNews.ca. « C'est un peu bizarre. »

Identifié

CTVNews.ca a identifié au moins 17 rapports similaires à ceux-ci pour 2023 dans une base de données en ligne sur les incidents d'aviation tenue par Transports Canada.

Rapports

Ces rapports proviennent de partout au pays et impliquent des pilotes et des équipages de WestJet, Air France, British Airways, etc. « Juste pour vous informer qu'il y avait un vol du Sud. Ils ont vu la même chose, il y a environ une demi-heure », a répondu un contrôleur de la circulation aérienne au vol.

Rêve

« Alors, je suppose qu'on ne rêve pas, hein ?» , a lancé l'aviateur. « Non, vous n'êtes pas les premiers ce soir » .

Contrôleurs

Environ 24 heures plus tard, les contrôleurs de la circulation aérienne ont reçu un autre rapport, cette fois d'un vol d'Edmonton à Yellowknife exploité par Air Tindi, qui « a dit avoir observé une lumière rotative » à 30 000 pieds au-dessus du nord de l'Alberta.

Phénomène

Lorsqu'un phénomène similaire a été repéré près de Yellowknife tard le 29 janvier 2024, les contrôleurs de la circulation aérienne ont envoyé un rapport de « saisie de renseignements vitaux » à Norad, le groupe de défense aérienne conjoint Canada-États-Unis.

Équipage

« Nous observons deux lumières qui bougent ici, à l'est de votre champ », a avancé un membre d'équipage à bord d'un vol en provenance de Fort McMurray, en Alberta, alors qu'ils approchaient de Yellowknife le 29 janvier 2024, selon l'audio de la circulation aérienne précédemment publié par CTVNews.ca.

Fous

« Nous ne sommes pas fous. » De plus en plus appelés « phénomènes aérospatiaux non identifiés », ou PANI abrégé, les objets volants non identifiés (OVNI) sont devenus l'objet d'auditions du Congrès américain et de rapports officiels de la NASA et du Pentagone. Au Canada, le conseiller scientifique en chef du gouvernement fédéral a également lancé le projet Ciel Canada, qui prévoit de publier un rapport public sur les PANI en 2024.

Photo : La Presse canadienne.

Incidents

La base de données des incidents d'aviation de Transports Canada contient des rapports sur tout, des collisions avec des oiseaux aux passagers turbulents. Connu sous le nom de CADORS, il est également parsemé de près de trois décennies d'observations étranges de civils, de soldats, de policiers, de contrôleurs de la circulation aérienne et de pilotes de vols médicaux, militaires, de fret et de passagers.

Objet

Les rapports les plus récents de 2023 proviennent d'une heure d'écart environ, lorsqu'un vol d'Atlas Air de Chicago à Francfort et un vol d'Air France de Los Angeles à Paris ont séparément signalé « un objet non identifié » et « un objet devant et au-dessus avec six à sept lumières » près de Toronto tôt le 3 décembre.

Données

Transports Canada met régulièrement en garde contre le fait que de tels « rapports contiennent des données préliminaires et non confirmées qui peuvent être sujettes à modification ».

Potentiel

« Ces rapports n'ont aucun potentiel d'application réglementaire et tombent souvent en dehors du mandat du département », a précédemment précisé un porte-parole de Transports Canada à CTVNews.ca. « Les rapports d'objets non identifiés peuvent rarement faire l'objet d'un suivi car, comme l'indique leur titre, ils sont non identifiés. »

Robert Powell

Robert Powell est un ingénieur basé au Texas et membre fondateur de la Coalition scientifique pour l'étude des PANI, un groupe de réflexion international dédié à l'application des principes scientifiques à la recherche sur les PANI.

Pilotes

« Je soupçonne que ces rapports ne représentent qu'une petite fraction de ce que les pilotes voient », a affirmé M. Powell à CTVNews.ca. « Non seulement le stigmate de faire un rapport sur les PANI existe toujours, mais le formulaire de rapport et la manière dont il est traité indiqueraient clairement à tout pilote que son rapport a simplement été classé. »

Fonctionnaires

La plupart des rapports sont fournis aux fonctionnaires des transports fédéraux par Nav Canada, une société à but non-lucratif privée qui possède et exploite l'infrastructure de contrôle de la circulation aérienne civile du Canada.

Directives

Les directives en matière d'aviation de l'entreprise dirigent les pilotes au-dessus du Canada pour signaler immédiatement « une observation de renseignements vitaux concernant des objets ou des activités aériens et terrestres qui semblent hostiles, suspects, non identifiés ou impliqués dans une possible activité de contrebande illégale ».

Alerte

Lorsque de tels rapports sont faits, Nav Canada alerte généralement Transports Canada et un escadron de la Force aérienne royale canadienne affilié à Norad à North Bay, en Ontario.

Procédure

« La procédure de signalement des incidents d'aviation de Nav Canada est utilisée pour traiter les cas d'aéronefs non autorisés ou inconnus dans l'espace aérien géré par Nav Canada », a mentionné un porte-parole de l'entreprise. « Nav Canada fournit toutes les informations qu'elle reçoit sur ces incidents au gouvernement canadien. »

Sécurité

Mais sauf s'il y a un problème clair de sécurité ou de sûreté, il y a généralement peu ou pas de suivi de la part des autorités canadiennes.

Observations

« Les Forces armées canadiennes et la Force aérienne royale canadienne n'enquêtent généralement pas sur les observations de phénomènes inconnus ou inexpliqués en dehors du contexte de l'examen de menaces crédibles, de menaces potentielles dans le cas des opérations de recherche et de sauvetage », a répondu un porte-parole de la défense canadienne.

Incidents

Au moins quatre incidents semblent avoir répondu à ces critères entre 2016 et février 2023, lorsqu'un ballon chinois à haute altitude et trois objets non identifiés ont été abattus en Amérique du Nord. Une observation du ballon par Air Canada le 31 janvier en Colombie-Britannique est également apparue dans la base de données numérique de Transports Canada.

Certains cas peuvent avoir des explications simples, comme un vol de la compagnie Swoop.

PANI

Certains cas de PANI en 2023 peuvent avoir des explications simples, comme le vol e la compagnie Swoop à Abbotsford, en Colombie-Britannique, qui «a rapporté avoir vu une douzaine de lumières blanches» près de Hamilton, en Ontario, et un rapport du 17 février 2024 d'un aéroport isolé des Territoires du Nord-Ouest « d'une chaîne de lumières d'environ un mile de long » tous deux possiblement des observations de satellites SpaceX Starlink, qui se déplacent en lignes de points lumineux.

Drones

D'autres incidents impliquant des lumières rouges et vertes clignotantes pourraient être des drones avec des feux de navigation, comme des rapports déposés en février et en mars 2024.

Classés

Plus de la moitié des rapports inhabituels déposés en 2023 ont été classés comme incidents de « perturbation par laser », tandis que le reste a été étiqueté comme rapports CIRVIS/UFO.

Perturbation

Des exemples de « perturbation par laser » de 2023 comprennent un vol Aeromexico du 4 janvier de Mexico à Amsterdam qui a signalé « un motif lumineux inhabituel dans le ciel » au-dessus du Nouveau-Brunswick, un vol cargo du 7 février 2024 de Miami à Amsterdam qui « a observé des lumières inhabituelles, se déplaçant de manière erratique » au-dessus d'eux près d'Halifax.

British Airways

Un vol British Airways du 27 septembre 2024 de Houston à Londres qui a signalé un « objet lumineux au-dessus de leur niveau de vol » au large de la Nouvelle-Écosse, et un vol WestJet du 24 octobre d'Edmonton à Halifax qui a signalé « une lumière intense semblant provenir du soleil » au-dessus du Québec.

Porte-parole

Un porte-parole de Transports Canada a expliqué précédemment que les rapports d'aviation sont étiquetés « perturbation par laser » lorsque « un aéronef est ciblé ou signale avoir vu un faisceau laser ou toute autre source lumineuse brillante dirigée ». M. Powell, chercheur, estime que l'étiquette « laser » est mal appliquée.

Explication

« L'explication de la perturbation par laser semble être une catégorie fourre-tout pour les rapports des pilotes », a déclaré Powell. « Les sources lumineuses laser seraient en dessous de l'aéronef et pas au-dessus. »

Information

CTV News a déposé des demandes d'accès à l'information pour obtenir plus de données sur des rapports comme ceux-ci, qui comportent rarement plus d'une ligne ou deux de détail. Par exemple, un rapport publiquement disponible du 11 janvier 2023 d'un vol d'Exploits Valley Air Services au-dessus du golfe du Saint-Laurent décrit simplement « des lumières vives à environ 100 milles nautiques de leur position. »

Accès

Une demande d'accès à l'information déposée auprès du ministère de la Défense nationale du Canada a révélé un rapport légèrement plus long d'environ quatre lumières vives se déplaçant autour l'une de l'autre créant des formes géométriques (triangle à hexagone). »

Signalé

Au moins quatre vols ont déjà signalé des objets non identifiés et des lumières au-dessus du Canada jusqu'à présent en 2024, notamment un signalement du 4 janvier de Porter Airlines, un cas du 13 janvier impliquant un vol FedEx, et un rapport du 19 janvier de Flair Airlines et Air Canada. Le CTVNews.ca a également précédemment documenté 11 cas d'aviation similaires de 2022.

Ballons

Des drones aux ballons, en passant par les satellites, les météorites, les fusées éclairantes, les lanternes en papier et les phénomènes météorologiques, bon nombre des rapports décrits dans cet article ont probablement des explications ordinaires et terrestres. Mais avec peu de signes d'enquête officielle ou de suivi de la part des autorités canadiennes, la plupart des cas restent inexpliqués.

Donald Spike Kavalench

Donald Spike Kavalench est un pilote de surveillance à la retraite de Transports Canada qui a également passé plus de deux décennies à voler pour l'Aviation royale canadienne.

Menace

« Transports Canada, Nav Canada et le ministère de la Défense nationale doivent travailler ensemble pour répondre rapidement et efficacement aux rapports sur les OVNIS qui pourraient représenter une menace potentielle pour le public volant et éventuellement pour notre sécurité nationale », a dit M. Kavalench. « Jusqu'à présent, cela n'a pas été fait. »

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