OVNI : Affaire Lonnie Zamora à Socorro en 1964

L’œuf de Socorro, image d'illustration.

Le 24 avril 1964, Lonnie Zamora, un agent de la police de Socorro aux Etats-Unis est en train de poursuivre une Chevrolet noire en excès de vitesse au sud de la ville, lorsque soudain, il aperçoit une grande flamme sur sa droite. 

Explosion

Craignant l’explosion d’un dépôt de dynamite à̀ proximité́, il s’engage sur une piste de terre et remarque alors un objet brillant qu’il prend d’abord pour une voiture accidentée.

Sources

D’après toutes les sources interrogées pendant la durée l’enquête, la famille, ses amis, et autres encore l’ayant côtoyés de près ou de loin, tous les témoignages convergèrent, pour accréditer les dire et le sérieux de Lonnie Zamora, aussi bien à l’époque au moment des faits, que bien des années plus tard, sur son observation d’OVNI.

Un mystérieux signe sur l'OVNI, image d'illustration.

Observation

Il observe deux personnages de la taille d’un enfant, vêtus de blanc, s’affairant autour. Tandis qu’il se rapproche avec sa voiture.

Objet

Il constate avec stupeur que l’objet brillant, en forme d’œuf, sans portes ni fenestres, s’élève dans le ciel et fonce vers lui. Zamora, effrayé, sort de sa voiture et s’enfuit en courant. 

Engin

Il voit l’engin volant, qui porte de curieux signes rouges sur les côtés, L’engin s’éleva ensuite d’environ 7 mètres au-dessus du sol, Jetant un bouquet de flammes puissant pour s’immobiliser quelques instants à cette hauteur, puis il partit en direction de l’Ouest.

Témoignage

Ses collègues, appelés en renfort, recueillent son premier témoignage trouvent des traces de feu ici et là sur le site ainsi que quatre empreintes rectangulaires. 

Enquête

Dès le lendemain, l’armée de l’air se saisit de l’enquête dans le cadre du projet Blue Book.

Allen J. Hynek

Le consultant en chef du projet, le fameux astronome Allen J. Hynek, dira que « ce jour-là, il s’est réellement produit quelque chose dans les collines de Socorro ».

2020 : un OVNI filmé dans le ciel japonais intriguent les scientifiques qui n'ont aucune explication

Des habitants du nord-est du Japon ont repéré haut dans le ciel un objet ressemblant à un ballon blanc. 

Les Japonais s'interrogent. Un mystérieux objet blanc, de la forme d'un ballon, a été repéré par des habitants de Miyagi et de Fukushima flottant dans le ciel au nord-est du pays. 

Interrogations

Certains sont persuadés que c'est un OVNI, tandis que d'autres cherchent à comprendre de quoi il pourrait s'agir exactement. 

Appels

L'agence météorologique du Japon rapporte que les appels concernant cet objet étrange ont commencé à affluer vers 7 heures du matin. 

Autorités

La police et des autorités locales ont également été interpellées par les curieux, rapporte le média Japantimes. L'affaire n'a pas tardé à être partagée sur Twitter.

Verifications

Nous avons vérifié auprès du gouvernement municipal de Sendai et des forces d’autodéfense, mais ils n’ont aucune idée non plus de ce que cela peut-être.

Déclaration 

Le bureau du ministère des Transports à l’aéroport de Sendai a de son côté déclaré qu’il n’y avait eu aucune demande de vol d’un véhicule aérien. 

Surveiller 

« Comme il ne se trouve pas sur les trajectoires de vol des avions, cela n'affectera pas le fonctionnement des avions, mais nous continuerons de le surveiller », a déclaré un responsable du bureau.

Yoshihiro Tachibana

Le professeur de météorologie Yoshihiro Tachibana de l’école supérieure de l’Université de Mie, a déclaré que l’objet volant ressemblait à un ballon d’observation météorologique, semblable à ceux utilisés à l’étranger.

Objet

En raison d'un puissant courant d'air allant de l’ouest du nord-est de l’Asie vers la partie sud de la région de Tohoku, l'objet aurait pu, selon lui, avoir dérivé en descendant, en raison d’une légère fuite de gaz.

Professeur

Le professeur souligne qu'un ballon d’observation météorologique de ce type monte dans le ciel lorsqu’il se remplit de gaz et est conçu pour éclater lorsqu’il atteint de hautes altitudes en raison de la baisse de pression.

Quand en 1803 un OVNI débarqua au Japon

Un OVNI débarqua au Japon.

Les histoires d’OVNIS fascinent le monde depuis les premières soucoupes volantes, alimentées par des témoignages de pilotes et autres vidéos plus ou moins crédibles. 

Texte

Au Japon, un texte du début du XIXe siècle, Utsuro-bune (navire creux), raconte le contact d’un OVNI avec des Hommes, à l’instar d'un Rencontre du troisième type.

Navire

En 1803, un « navire rond » frappe la terre du village côtier d’Hitachi au Japon. Une belle femme étrange en sort, drapée de vêtements insolites.

Jeune

Elle semble jeune, entre 18 et 20 ans, son visage est pâle, ses sourcils et ses cheveux sont rouges. Entre ses mains, une mystérieuse boîte.

Pêcheurs

Les pêcheurs l'accueillent, sans parvenir à communiquer avec elle et remarquent, sur son vaisseau, une écriture inconnue. Puis, elle est ramenée, avec sa cassette, vers son navire creux, qui dérive vers la mer pour ne plus jamais revenir...  

Tanaka Kazuo

Tanaka Kazuo, professeur à l’Université de Gifu spécialiste du texte, est formel : « L’engin décrit dans les documents japonais de la période Edo, a tout de la soucoupe volante », rapporte Nippon. 

Recherches

Au cours de ses recherches, il a retrouvé onze versions de la légende aux divergences plus ou moins importantes. Mais les plus intéressantes, selon lui, datent de 1803, année où l'OVNI aurait touché la terre nippone.

Sources

L’une des sources les plus connues est le Toen shōsetsu, une compilation des « rumeurs fantastiques » établie par le cercle littéraire Toenkai en 1825.

Récit

On trouve aussi le récit dans le Ume no chiri (Poussière de prune), de 1844, signé Nagahashi Matajirō, ainsi que dans les Notes de Ōshuku (Ōshuku zakki), le Hirotaka zuihitsu (Essais de Hirotaka).

Hyōryūki-shū

Ou encore le Hyōryūki-shū (enregistrement de naufragés) de 1835, qui rassemble des histoires de navires étrangers et de marins japonais échoués au large du Japon.

Document

Le Banke bunsho (Document de Banke) présente une approche plus intrigante encore, car il est le seul à localiser précisément le lieu de la rencontre : Hitachihara Sharihama.

Village

Ce village apparaît sur un document du cartographe, Inō Tadataka, mais sa localisation actuelle reste confuse.

Notes de Ōshuku (Ōshuku zakki), de Komai Norimura. Bibliothèque nationale de la Diète.

Représentations

Plus que le fantastique du texte, les représentations d’époque de cet engin indéterminé rappellent furieusement les visions de soucoupes. 

Vêtements

Tanaka Kazuo remarque que les vêtements de la femme dans une illustration de l’œuvre ressemblaient à ceux d’une statue de bodhisattva, au temple Shōfukuji à Kamisu, qui est dédié à l’élevage des vers à soie.

Légende

Une légende locale attribue le début de la sériciculture à une princesse Konjiki. Dans une version de l’histoire, cette princesse échoue sur le rivage après avoir voyagé depuis l’Inde sur une pirogue en forme de cocon. 

Hypothèse

Le chercheur émet l’hypothèse que les premières rumeurs firent état d’un « navire creux » débarquant sur une plage appelée Kashimanada : les habitants de Shōfukuji l’intégrèrent tout bonnement à la promotion du temple.

Navire

Il s'agirait en réalité de l’accostage d’un navire étranger, déformé et embelli avec le temps. Peut-être un baleinier russe naufragé, mais on n'en trouve nulle mention dans les archives officielles.

Histoire

L’Histoire japonaise de l’époque Edo soutient cette thèse du bateau étranger : le début du XIXe siècle s’inscrit dans cette période isolationniste du Japon, qui dura près de deux siècles, dite Sakoku (fermeture du pays).

Politique

Cette politique prit fin avec l’expédition de 1853-1854 menée par Matthew Perry qui força le pays de Bashô à s’ouvrir.

Extrait de Hirotaka zuihitsu (Essais de Hirotaka). Archives nationales du Japon.

Conte

Une autre histoire, bien plus ancienne, Le Conte du coupeur de bambou (Taketori Monogatari), également connu sous le nom de la princesse brillante (Kaguya-hime), apparut au début de la période Heian (794 - 1185). Son auteur est inconnu.

Princesse

Un vieux coupeur de bambou trouva un jour une petite fille, la princesse Kaguya, à l’intérieur d’une tige de bambou brillante. 

Femme

Devenue par la suite une fascinante femme au charme surnaturel, elle séduisit tous les hommes qu’elle rencontrait, jusqu’à l’empereur lui-même. 

Terre

Cependant, elle les refusa tous, consciente qu’elle ne venait pas de la Terre, mais de la Lune. Elle y retournera finalement, escortée par son peuple, venu la chercher.

Récit

Beaucoup connaissent ce récit en Occident par l’entremise de son adaptation en film d’animation par le Studio Ghibli de 2013, Le conte de la princesse Kaguya, réalisé par Isao Takahata. 

Allégorie

Certains verront dans cette légende, avant tout, une allégorie, qui rappelle le poème en prose de Baudelaire, Les Bienfaits de la lune.

Une soucoupe volante présumée vue au-dessus de Passaic, New Jersey en 1952. Domaine public.

Phénomène 

Le phénomène OVNI s’est imposé après que les médias ont rapporté le témoignage de l’homme d’affaires américain, Kenneth Arnold, qui jurait avoir vu des « soucoupes volantes » le 24 juin 1947. 

Engin

Plus fameux encore, cet engin qui se serait écrasé près de Roswell, au Nouveau-Mexique, en juillet 1947. Aujourd'hui encore, il nourrit une imagination débridée, autant qu'un complotiste acharné, autour de la Zone 51.

Carl Gustav Jung

Carl Gustav Jung, dans un essai de 1958, trois ans avant sa mort, analysait ce phénomène comme un « mythe moderne ». Et la littérature aussi douteuse que parée de vertus scientifiques ne manque pas. Mais qui sait : la vérité est peut-être ailleurs ?

4 quintillions : estimation du nombre de vaisseaux extraterrestres à proximité de notre système solaire

4.000.000.000.000.000 (quatre quintillions).

En regardant le ciel nocturne, on ne peut s’empêcher de se demander s’il y a de la vie ailleurs dans le cosmos. Il y en a probablement. Je le crois fermement, pas seulement à cause d’une intuition, mais parce que l’Univers est un endroit si étrangement grand.

James Webb

Les observatoires comme James Webb nous aident à mieux comprendre le fonctionnement du cosmos et la place que nous y occupons.

Article

Mais cet article ne porte pas sur James Webb. Il porte sur la vie extraterrestre et sur un autre article intéressant publié par le professeur Avi Loeb, l’étude n’a pas encore été examinée par des pairs.

Étude

Le professeur Loeb et son collègue de Harvard, Carson Ezell, ont publié une étude. Dans cette étude, ils ont examiné combien d’objets similaires à Oumuamua pourraient se trouver dans et près de notre système solaire. 

Résultat

Le résultat ? 4.000.000.000.000.000 (ou quatre quintillions). 

Oumuamua

Le professeur Loeb a proposé il y a quelques années que l’objet interstellaire ‘Oumuamua soit probablement la preuve d’un contact extraterrestre. 

Fabriqué

Selon le professeur de Harvard, "Oumuamua" pourrait avoir été fabriqué artificiellement et être un vaisseau spatial envoyé par une civilisation étrangère pour explorer le cosmos. 

Visiteur

Chacun de ces objets a été proposé comme visiteur d’un autre système stellaire, et chacun de ces objets est, peut-être, créé artificiellement.

Quintillions

4 quintillions peuvent sembler beaucoup. Mais notre système solaire est un endroit assez massif. De plus, la distance entre notre système stellaire et Proxima du Centaure, notre plus proche voisin, est encore plus grande. 

Distances

Nous vivons dans un système solaire qui s’étend sur plus de 9 milliards de kilomètres. Pour atteindre Proxima du Centaure, il faut encore parcourir 20 trillions de kilomètres. 

Signification

Qu’est-ce que cela signifie ? Chacun de ces quatre quintillions d’objets interstellaires possibles pourrait être extrêmement difficile à trouver pour une étude plus approfondie. nous devons noter que Loeb ne prétend pas que notre Voie lactée est remplie de quintillions de vaisseaux extraterrestres. 

Sonde

En fin de compte, il n’a jamais déclaré explicitement que "Oumuamua" était une sonde robotique ou un vaisseau avec équipage, mais simplement que cela devait être considéré comme une option. 

Éléments

Il s’est basé sur un certain nombre d’éléments, principalement la forme étrange de ‘Oumaumua et son mouvement lorsqu’il s’éloigne du Soleil.

Calculs

Par conséquent, les calculs de Loeb et Ezell ne représentent pas la population de vaisseaux extraterrestres. Ils calculent le nombre de vaisseaux extraterrestres ou d’autres objets artificiels qui pourraient exister. 

Fusée fragments ?

Des pièces de fusée E.T restant d’une mission précédente. Des fragments de technologie extraterrestre que nous ne comprenons pas. 

Détection

D’après Loeb et Ezell, les calculs sont simples. « On peut utiliser les taux récents de détection d’objets interstellaires et les capacités connues pour estimer la densité d’objets similaires dans le voisinage solaire », ont écrit les chercheurs, selon le Daily Beast. 

Chercheurs

Les chercheurs ont commencé par examiner tous les objets situés en dehors du système solaire qui ont été détectés par les astronomes.

Abraham “Avi” Loeb.

Civilisation

Il en résulte que ces objets pourraient provenir d’une civilisation extraterrestre située juste au-delà de la portée de nos télescopes et de nos sondes. 

Nombre

Et si le nombre calculé par les deux chercheurs semble étrangement élevé, il s’agit en fait du chiffre le plus bas qu’ils aient trouvé. 

Chiffres

Leurs calculs ont abouti à deux chiffres. Nous avons découvert quatre objets interstellaires en huit ans. 

Objets 

D’après leurs calculs, le système solaire pourrait contenir jusqu’à 40 décillions d’objets interstellaires, y compris ceux qui sont hors de portée de nos instruments. 

Zone

Le nombre tombe à 4 quintillions si l’on se concentre uniquement sur la « zone habitable » près du Soleil, ce qui est potentiellement excitant, car, si certains sont des extraterrestres, ils seraient plus faciles à détecter.

OVNIS abattus : l'hypothèse extraterrestre reprend son vol

Une image d'archives montre un avion de l'US Air Force.

En l’espace de trois jours, trois objets non identifiés ont été abattus par l’US Air Force au-dessus de l’Amérique du Nord, plusieurs déclarations ambiguës du Pentagone ont laissé s’installer l’idée qu’il pourrait s’agir d’engins d’origine extraterrestre.

Départ

Le point de départ de cet emballement est le ballon espion chinois abattu par un F-22 le 4 février 2023, au large des côtes de Caroline du Sud. 

Incident

Cet incident a mis en lumière le fait que le ciel américain est régulièrement traversé par des aéronefs qui n’ont rien à y faire, du moins légalement. 

Objets

Dans les jours qui ont suivi, ce sont pas moins de trois objets volants non identifiés, qui ont été abattus. Et cette fois rien ne permet d'affirmer qu’il s’agit de ballons venus de Chine.

Alaska

Au-dessus de l’Alaska, un objet « de la taille d’une petite voiture » est détruit par un avion de l’US Air Force. Selon un représentant du département de la Défense, ce n’était pas un ballon.

Lendemain

Le lendemain, le 11 février 2023, c’est cette fois au Canada qu’un objet survolant le Yukon, à la frontière de l’Alaska, est abattu par un chasseur américain. 

Décrit

Il est décrit par un officiel du gouvernement canadien comme cylindrique et plus petit que le ballon espion chinois. 

Détecté

Il avait été détecté sur les radars dans la soirée de jeudi. C’est le Premier ministre Justin Trudeau lui-même qui a confirmé dans un message publié sur Twitter avoir donné l’ordre de détruire cet aéronef qui violait l’espace aérien du Canada. 

Détecté

Enfin, le dimanche 12 février 2023, un objet volant détecté pour la première fois samedi au-dessus du Montana, est réapparu dimanche avant d'être abattu au-dessus du lac Huron, au large du Michigan. 

Volait

« L'objet, qui volait à 20 000 pieds (6 000 mètres), avait une structure octogonale, des ‘cordes’ qui pendaient, mais pas de nacelle visible, ont déclaré les autorités américaines ».

Abattus

Ces trois objets, abattus en trois jours, suscitent bien des interrogations. Et pour une grande part en raison des déclarations contradictoires des autorités américaines. 

Démenti

Dans un premier temps, la Sécurité nationale a démenti l’hypothèse que ces aéronefs soient d’origine extra-terrestre. 

Conférence

Mais, lors d’une conférence de presse, dimanche, le général Glen VanHerck, chef du commandement de la défense aérospatiale pour l'Amérique du Nord.

Helene Cooper

(NORAD), s’est montré bien moins affirmatif quand la journaliste du New York Times, Helene Cooper, a posé la question qui était sur toutes les lèvres.

Nature

« Vous ne nous avez rien dit sur la nature de ces choses dans le ciel que nous avons abattues. Nous devons donc vous poser la question. Avez-vous exclu une origine extraterrestre ? »

Glen VanHerck

Au lieu de nier catégoriquement, le général Glen VanHerck a répondu : "Je n’exclus rien". 

Évaluer

« À ce stade, nous continuons à évaluer chaque menace ou menace potentielle inconnue qui s'approche de l'Amérique du Nord en tentant de l’identifier. »

Description

Il a même ajouté : « Je ne catégorise pas ces objets comme des ballons. Nous avons des raisons de les appeler objets. Je ne suis pas en mesure de déterminer la façon dont ils restent en altitude.» 

Déclarations

Difficile de dire si les déclarations sibyllines du général VanHerck sont dues à un manque d’informations précises ou si elles témoignent d’une volonté réelle d’ouvrir la porte à toutes les hypothèses. 

OVNI Image d'illustration.

Karine Jean-Pierre

Toujours est-il que lundi 13 février 2023, la porte-parole de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a dû éteindre l’incendie au cours d’un point presse. 

Questions

« Je sais qu’il y a eu des questions et des préoccupations à ce sujet, mais il n’y a aucune indication d’extraterrestres ou d’activités extraterrestres en rapport avec la destruction de ces objets. »

Explications 

De fait, comme l’avait même expliqué le général VanHerck, « les objets se déplaçaient lentement à la vitesse du vent » et n’ont fait la démonstration d’aucune prouesse aérienne surpassant les compétences des appareils terriens. 

Constat

Un constat en opposition avec les différents « drones » observés ces dernières années par des militaires, capables d’accélérations fulgurantes, de virages en épingle à cheveux, et même de se déplacer aussi bien sous l’eau que dans les airs selon certains témoignages. 

Facilité

De plus, la facilité avec laquelle les avions de chasse en sont venus à bout contraste avec plusieurs récits de confrontation entre des pilotes militaires et des OVNIS, au sens le plus classique du terme, au cours des dernières décennies.

Épisodes

L'un des épisodes les plus célèbres de ce type de confrontation s'est produit en septembre 1976 en Iran, alors allié des États-Unis. 

Parvis Jafari 

Le pilote de chasse Parvis Jafari qui avait reçu l'ordre d'intercepter un objet inconnu s'est retrouvé face à un appareil de forme étrange aux performances étourdissantes. 

Désactivées

Ses commandes de tir ont été désactivées et l'engin, au terme d'un véritable jeu du chat et la souris, a échappé à son poursuivant sans la moindre difficulté.

Survols

Ces survols ne sont ni nouveaux ni limités aux États-Unis Le sénateur de Floride Marco Rubio Quoi qu’il en soit, ces interceptions d’objets mystérieux ne sont sans doute que le début d’une longue série, car leur détection est désormais facilitée par les radars de la NORAD, réglés depuis peu pour repérer des intrus de petite taille se déplaçant lentement.

Ajustements

« Nous avons procédé à des ajustements pour obtenir une meilleure fidélité dans l'observation des petits objets », a expliqué le général VanHerck. 

Filtrer

« Nous pouvons également filtrer en fonction de l'altitude. Ainsi, avec quelques ajustements, nous avons pu obtenir une meilleure catégorisation des pistes radar. »

Marco Rubio

C’est d’ailleurs en ce sens qu’a tweeté Marco Rubio, sénateur républicain de Floride et ancien candidat aux primaires, battu par Donald Trump. 

« La question des objets au-dessus de l'espace aérien américain n’est pas de savoir s’ils sont extraterrestres » . 

Comment

« La question est de savoir comment quelqu'un fait voler quelque chose au-dessus d'endroits où il n'est pas autorisé à le faire, et ces survols ne sont ni nouveaux ni limités aux États-Unis » .

Changement

« Ce qui a changé, c'est que nous avons enfin commencé à les traquer. »

Chine

Alors que la Chine fait toujours figure de principal suspect dans ces affaires d’objets volants, un incident aussi spectaculaire qu’inédit impliquant Pékin s’est déroulé le 28 janvier à Hawaï. 

Observatoire

L’Observatoire Astronomique du Japon, via sa caméra placée à Mauna Kea, a filmé au-dessus de l’île de Maunakea dans l’archipel d’Hawaï des rayons lasers verts illuminant le ciel nuageux dans une scène digne d’un film de SF. 

Événement

Dans un premier temps, l’événement avait été mis sur le compte d’un satellite altimétrique de télédétection de la NASA. 

Simulation

Mais le 6 février, l’agence spatiale américaine a réalisé une simulation de la trajectoire des satellites qui disposent d’instruments similaires et établi que le candidat le plus probable était le satellite chinois Daqi-1/AEMS. 

Spectacle

Toutefois, le but de ce spectacle son et lumière demeure mystérieux : l’espionnage est exclu et des experts de l’Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï estiment qu’il pourrait s’agir d’une mesure de polluants dans l’atmosphère. 

Ray L’Heureux

l’ancien chef d'état-major des forces marines du Pacifique, Ray L’Heureux, cité par The Independent. 

Pollueurs

« Pourquoi les Chinois qui sont probablement parmi les pollueurs les plus prolifiques de la planète collecteraient des données sur les polluants de ce côté-ci du Pacifique ? » .

OVNIS : quelle est l’origine de ces apparitions non expliquées ?

Phénomènes aérospatiaux non identifiés.

En France, le Groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés reçoit près de 700 témoignages par an. Une centaine de cas restent, à ce jour, inexpliqués. Comment reconnaître un OVNI ?

Geipan

Le Groupe d’études et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan) est un bureau du Centre national d’études spatiales chargé d’enquêter sur les OVNIS. Le mot OVNI signifie “objet volant non identifié”. 

Phénomènes

Il englobe plus généralement tous les phénomènes aperçus dans le ciel et dont on ne parvient pas à déterminer la nature.

Guerre

En pleine Guerre froide, les Américains et les Soviétiques sont engagés dans une course à l’armement. Les Américains créent dans le plus grand secret des avions appelés U-2. 

Pilotes

A partir de ce moment, de nombreux pilotes de ligne révèlent avoir aperçu d’étranges objets volants, rapides et brillants. 

Révéler

L’armée américaine refuse de révéler l’existence des U-2. L’explication alors trouvée par le grand public est celle de vaisseaux extraterrestres.

Témoignages

En France. Sur près de 700 témoignages par an, 150 débouchent sur une enquête. Étant l’un des plus anciens bureaux d’enquête sur les anomalies du ciel, le Geipan a déjà présenté ses recherches à la NASA en qualité d’expert. 

Enquêteurs

Les enquêteurs du Geipan sont quatre et sont chargés de recueillir des témoignages, de réaliser des études et de publier leurs résultats en ligne. Une centaine de cas restent toujours inexpliqués.

Déterminer 

Pour déterminer la nature d’un phénomène aérien inexpliqué, il faut prendre en compte plusieurs éléments : le lieu de l’observation, le moment de la journée, le nombre de témoins et leur témoignage... 

Le Geipan recourt aussi à des outils très variés : aéronautiques, aérospatiaux, astronomiques, météorologies, photographiques, etc.

Anomalies

La plupart des anomalies aériennes observées trouvent une explication rationnelle. 

Avions

Avion de ligne.

Les avions de ligne sont souvent confondus avec des vaisseaux extraterrestres. À tout moment de la journée, près de 10 000 avions volent simultanément dans le ciel partout dans le monde.

Drones

Drone.

Les drones sont souvent confondus avec des vaisseaux extraterrestres, particulièrement depuis que les drones civils sont de plus en plus nombreux.

Ballons-sondes

Ballon-sonde.

Les ballons-sondes sont souvent confondus avec des vaisseaux extraterrestres. Ils sont utilisés pour prendre des mesures météorologies et astronautiques.

Nuages

Nuage.

Les nuages sont souvent confondus avec des vaisseaux extraterrestres. Certains nuages, aux formes particulièrement spectaculaires, peuvent être à l’origine de ces observations les cirrocumulus lenticulaires debout, les stratocumulus lenticulaires debout et les altocumulus.

Étoiles 

Les étoiles et les planètes sont souvent confondues avec des vaisseaux extraterrestres.

Oiseaux

Les oiseaux, les sacs plastiques et les ballons d’hélium sont souvent confondus avec des vaisseaux extraterrestres.

Engins 

Engin spacial.

Les retombées d’engins spatiaux sont souvent confondues avec des vaisseaux extraterrestres.

Météorites 

Les météorites diurnes ou nocturnes sont souvent confondues avec des vaisseaux extraterrestres.

Missiles 

Les tirs de missiles, d’obus ou d’armes à feu, sont souvent confondus avec des vaisseaux extraterrestres.

Illusions 

Les illusions d’optique sont souvent confondues avec des vaisseaux extraterrestres. À Pontoise, dans le Val-d'Oise, une femme avait observé avec ses jumelles un objet ovale marbré de points lumineux. 

Vision entoptique

Le Geipan a révélé qu’il s’agissait d’une “vision entoptique”. Autrement dit, la femme a observé le fond de son propre œil reflété dans la lentille de ses jumelles.

Satellites 

Les satellites du programme Starlink sont souvent confondus avec des vaisseaux extraterrestres. Se déplaçant en longue file indienne.

Points lumineux

Les 50 points lumineux qui traversent parfois le ciel nocturne sont en réalité des lancements de satellites organisés par le milliardaire Elon Musk.

Lanternes 

Les lanternes thaïlandaises sont souvent confondues avec des vaisseaux extraterrestres.

Phénomènes 

Les “phénomènes lumineux transitoires” sont souvent confondus avec des vaisseaux extraterrestres. Lors d’un orage, différents phénomènes lumineux peuvent se produire.

Jets 

Des jets bleus peuvent ainsi se former à partir du sommet des nuages et s’élever sur plusieurs kilomètres de haut dans la stratosphère. 

Sylphes

Des sylphes rougeâtres à tentacules, peuvent aussi se déployer verticalement sur 40 à 90 km au niveau de la mésosphère. 

Elfes

Enfin, des “elfes”, disques lumineux pouvant atteindre 300 km de diamètre, se forment pendant une milliseconde à 90 km d’altitude.

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