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La ceinture d'astéroïdes observée par le télescope James-Webb

2000002982373Grâce au télescope spatial James-Webb, les chercheurs révèlent la structure étonnante du disque de débris qui entoure l’étoile Fomalhaut, ici telle qu’elle apparaît dans le catalogue Digitized Sky Survey 2.

Autour de Fomalhaut, il se passe décidément des choses étranges. D’abord une planète observée par le télescope spatial Hubble qui finit par Disparaître. 

Découverte

Et maintenant, la première ceinture d’astéroïdes découverte en dehors de notre système solaire que le télescope spatial James-Webb révèle étonnamment complexe.

Étoile

Fomalhaut comprenez « la bouche du poisson » est l'étoile la plus brillante d'une petite constellation visible depuis la Terre, le Poisson austral. Une étoile jeune située à seulement 25 années-lumière de notre planète.

Astronomes

Elle est connue des astronomes même amateurs parce qu'elle est celle autour de laquelle orbite Fomalhaut b, la première exoplanète à avoir été photographiée.

Hubble

C'était par le télescope spatial Hubble, en 2008, avant que celle-ci n'en vienne tout bonnement de disparaître !

Données

De nouvelles données renvoyées par le télescope spatial James-Webb (JWST) semblent vouloir confirmer que cette exoplanète n'en était en réalité pas vraiment une. 

Objet 

Que l'objet saisi par Hubble tenait plus des restes d'une collision entre planètes formant un nuage de poussière, un nuage qui, sur les nouvelles images étudiées par les astronomes, « s'estompe et s'agrandit ».

Disques 

Ce sont justement aussi disques de débris que les chercheurs ont identifiés autour de Fomalhaut dès les années 1980 qui les poussent à s'intéresser de près à cette étoile.

Poussières

Des ceintures de poussières formées par des collisions, entre des corps de type astéroïdes ou comètes, cette fois.

Téléscope

Le téléscope spatial Hubble et l'observatoire spatial Herschel, ainsi que l'Atacama Large Millimeter/submillimeter Array (Alma), avaient déjà pris des images nettes de la ceinture la plus externe.

Instruments

« Ces instruments nous en ont appris beaucoup sur la façon dont ces disques se forment et évoluent », explique Schuyler Wolff, chercheur à l'université de l'Arizona (États-Unis), dans un communiqué de la NASA.

James-Webb

Mais c'est aujourd'hui le télescope spatial James-Webb qui offre aux chercheurs la chance d'observer la structure des ceintures internes de Fomalhaut.

Capacité

Grâce à sa capacité à « résoudre physiquement la lueur thermique de la poussière dans ces régions-là ». 

Astronomes

Et ce que le JWST vient de révéler aux astronomes, c'est que les structures poussiéreuses autour de Fomalhaut sont beaucoup plus complexes et dynamiques que les ceintures d'astéroïdes et de poussière.

Chercheurs

Les chercheurs notent l'existence de trois ceintures imbriquées s'étendant jusqu'à 23 milliards de kilomètres de l'étoile.

Distance

L'équivalent de 150 fois la distance de notre Terre au Soleil. Avec une ceinture externe qui ressemble pas mal à notre ceinture de Kuiper. Deux fois plus étendue, toutefois.

Nouveau

Mais ce qui est réellement nouveau, c'est la description que les astronomes donnent de la ceinture la plus proche de l'étoile et d'une ceinture d'astéroïdes intermédiaire.

Inclinée

Cette dernière apparaît inclinée de 23° par rapport au reste de ce qui tourne autour de Fomalhaut.

George Rieke

Un système planétaire autour de Fomalhaut ? « Je pense que ce n'est pas trop m'avancer que de dire qu'il existe probablement un système planétaire vraiment intéressant autour de Fomalhaut », remarque George Rieke, le responsable du Mid-Infrared Instrument (Miri) du télescope spatial James-Webb. 

Astronomes

Car les astronomes imaginent depuis longtemps que les disques de débris se développent après la formation de planètes lorsque de petits corps comme des astéroïdes entrent en collision et pulvérisent leurs surfaces en d'énormes nuages ​​de poussière.

Forces 

Le tout sculpté par les forces gravitationnelles produites par des planètes, comme c'est le cas dans notre système solaire où Jupiter encercle la ceinture d'astéroïdes et où le bord intérieur de la ceinture de Kuiper est façonné par Neptune alors que son bord extérieur pourrait être sculpté par la fameuse et toujours élusive planète X.

JWST

Grâce au JWST, les chercheurs ont aussi pu observer une structure qu'ils ont baptisée « le grand nuage de poussière », la preuve potentielle qu'une collision s'est produite dans l'anneau extérieur de Fomalhaut entre deux corps protoplanétaires.

Objet

Mais il pourrait aussi s'agir d'un objet lointain vu à travers les débris, de nouvelles observations devraient aider à le déterminer. Une autre collision que celle mentionnée pour expliquer l'étrange disparition de Fomalhaut b. 

Preuve

Et une autre preuve que le système Fomalhaut est potentiellement complexe et actif.

Exceptionnelle 

Exceptionnelle image d'un anneau de poussière autour d'une étoile, dans le cadre d'un vaste programme de recherche d'indices de l'existence de planètes extrasolaires, le Télescope spatial Hubble a réussi une belle prouesse en prenant la photo la plus détaillée jamais obtenue d'un anneau de poussière particulièrement étroit autour de l'étoile Fomalhaut. 

Image

Cette image laisse à penser qu'une planète actuellement invisible pourrait le déformer et ainsi trahir sa présence, d'autant plus que des simulations informatiques confirment son existence en raison de perturbations qui affectent l'étoile.

Scientifiques

Les scientifiques confirment qu'ils auraient même pu voir la planète si elle avait été cinq fois plus massive que Jupiter.

Observations

D'autres observations sont prévues cet été de façon à compléter l'image (l'anneau est trop grand pour rester dans le champ de la caméra, ce qui explique la partie manquante.) et des analyses de couleurs de l'anneau sont également prévues pour déterminer ses propriétés physiques et sa composition.

Résidus

Certains comparent volontiers cet anneau à la ceinture de Kuiper du Système Solaire. Cette ceinture est constituée des résidus de la formation des planètes. Il s'agit de blocs de matière qui ne sont pas agglomérés à d'autres planétoïdes. 

Étoiles 

Le choix de Fomalhaut (HD 216956) n'est pas anodin. Il s'agit d'une des étoiles les plus proches entourées d'un disque de poussière et de gaz.

Position

Surtout, sa position par rapport à la Terre permet à Hubble d'être bien positionné pour l'observer, ce qui n'est pas le cas par exemple d'étoiles plus connues et également entourées d'un tel disque comme bêta-Pictoris et d'Au Microscopii, elles se présentent sous la tranche, ce qui rend leur observation très difficile.

 Étoiles 

Mais l'observation de Fomalhaut n'est pas pour autant facile. L'étoile est très lumineuse et cache donc les détails de la structure de son disque.

Coronographe

Hubble a donc utilisé le coronographe de l'ACS, qui permet de cacher la lumière d'une étoile et de voir les dispositifs qui l'entourent.

Image

L'image ainsi obtenue a une sensibilité et une résolution élevées. Dans le cas de Fomalhaut, les images d'Hubble ont une résolution d'environ 0.5 UA, soit 75 millions de km.

Massive

Fomalhaut se situe près du Soleil, à seulement 25 années-lumière, mais elle est deux fois plus massive que notre étoile et peu âgée, seulement 200 millions d'années, un vingtième de l'âge du Soleil. Il s'agit de l'étoile la plus lumineuse de la constellation du Poisson.

Époque

Si l'on se réfère au Système Solaire, cette époque correspond au grand bombardement, une période qui a duré plus de 700 millions d'années après la formation du Soleil et où 14 millions d'objets ont percuté la Terre et l'ont enrichie en différents eléments.

Période

Cette période s'avère passionnante, car elle marque la transition entre la naissance des planètes et leur état « final ».

Lune

La Lune a été bombardée par plus de 1 million d'objets qui ont donné naissance aux cratères que l'on voit aujourd'hui.

Comètes

Sur Mars, les comètes ont apporté de grandes quantités d'eau et toutes les atmosphères des planètes ont fortement été modifiées par cet épisode.

Fossile

Notez qu'il n'existe aucun fossile ou indice de cette période sur Terre qui tout au long de son histoire a connu de nombreux bouleversements de surface.

Image 

L'image d'Hubble montre clairement un anneau étroit, large de seulement 25 UA, commençant à une distance de 133 UA de son étoile et s'étirant jusqu'à 159 UA. Par comparaison, la Ceinture de Kuiper se situe à 30 UA du Soleil et s'étend jusqu'à 50 UA du Soleil (bien au-delà de l'orbite de Pluton). 

Diamètre

Mais alors que le disque de l'étoile est analogue à la Ceinture de Kuiper, son diamètre est quatre fois plus grand.

Nuage

Le bord du nuage est très effilé, ressemblant au fil d'une lame de couteau. Il est fondamentalement découpé en tranches. Il ressemble aux anneaux de Saturne, où nous observons des structures très fines entretenues par de petits satellites berger. 

Anneau

L'anneau ne semble pas centré sur l'étoile, mais sur une tache de 2,25 milliards de km qui semble tenir le premier rôle.

Mouvement

Les lois du mouvement de Kepler déclarent que des objets décrivant des orbites elliptiques sont toujours excentrés du centre géométrique de l'ellipse. 

Orbite 

Dans le cas présent, cet excentrage implique une planète parcourant une orbite fortement elliptique qui, aussi, balaye et absorbe la poussière constituant le disque.

Aspiré

À l'instar de Neptune et les planètes plus importantes de notre Système Solaire qui ont aspiré les débris formant le disque de poussières primitives qui entourait notre Soleil, laissant un anneau éloigné des débris rocheux (la ceinture de Kuiper).


Planète Mars : réception d’une nouvelle image étrange de la sonde spatiale Curiosity

2000002982373Un cliché pour le moins étrange.

Le rover Curiosity nous a récemment fait part d’un cliché pour le moins étrange qui a déchaîné les passions sur les réseaux sociaux. Squelette de dragon, dents de requins ou formation rocheuse ? 

Rover 

Voilà plus de 10 ans que le rover Curiosity sillonne la planète rouge afin d’aider les scientifiques à mieux comprendre notre voisine du système solaire. 

Prélèvements

Au-delà des prélèvements scientifiques qui permettent notamment de rechercher la présence d’eau sur Mars, il nous gratifie régulièrement de clichés qui nous permettent de mieux appréhender la surface de la planète.

Clichés

C’est l’un de ces clichés qui a récemment fait grand bruit sur les réseaux sociaux. Nommés MSL, 3 786 MR E, ce panorama du cratère de Gale montre une formation rocheuse pour le moins étrange.

Nathalie A. Cabrol

Cette drôle de roche a même surpris la communauté scientifique, en témoigne le tweet de Nathalie A. Cabrol, une astrobiologiste franco-américaine notamment connue pour ses études sur les lacs anciens de la planète rouge.

Étude

Celle-ci a ainsi indiqué qu’en 20 ans d’étude de Mars, c’est le rocher le plus bizarre qui lui ait été donné de voir.

2000002982373La photo a, en effet, été prise dans le cratère de Gale.

Squelette

Squelette de dragon d’animal marin ou simple formation rocheuse ? Il faut dire que la forme que l’on peut observer est pour le moins singulière et nourrit de nombreuses théories. Certains y voient le corps fossilisé d’un ver des sables du célèbre roman Dune, d’autres évoquent plutôt les restes fossilisés d’un dragon ou encore des dents de requin.

Roche

Néanmoins, cette roche ne serait autre que le travail de l’érosion. La photo a, en effet, été prise dans le cratère de Gale, là où Curiosity a atterri en 2012, ce cratère de 155 kilomètres de diamètre était autrefois recouvert d’eau, formant ainsi un lac. Par un processus de sédimentation, des roches de compositions et donc de résistances différentes se sont accumulées au fond du lac.

Assèchement

Avec l’assèchement du lac, l’érosion a ainsi fait disparaître petit à petit les sédiments les plus fragiles, laissant visibles ces aiguilles rocheuses qui résistent vaillamment aux tempêtes de sable martiennes, d’autres formations géologiques de ce type sont visibles sur le même panorama et viennent corroborer cette explication.

2000002982373D’autres formations géologiques.

Curiosités 

Ce n’est pas la première fois que Curiosity repère des étrangetés qui font travailler notre imagination. L’année dernière, déjà, Curiosity avait en effet partagé l’image de ce qui ressemblait à une plante fossilisée, et puis il y a eu ses deux « doigts » en juin 2023, apparus selon le même processus d’érosion que les récents pics.


SpaceX : pourquoi Starship est-elle la fusée du futur ?

2000002982373Starship a été choisi par la NASA pour envoyer les Américains sur la Lune en 2025. [SpaceX].

Starship, la fusée super puissante, économique, et capable d'envoyer les humains sur Mars développée par Elon Musk et son entreprise SpaceX. Un grand moment pour la conquête de l'Espace.

Elon Musk

Starship doit effectuer son tout premier vol test. Il s'agit d'une étape-clé pour ce lanceur de 120 mètres de haut, développé par SpaceX, l'entreprise d'Elon Musk, depuis des années, et destiné à des voyages dans l'espace lointain, vers la Lune et Mars.

Issue

L'issue du test est incertaine, mais SpaceX a déclaré que son succès serait mesuré à «la quantité de choses apprises » grâce à lui. « Succès peut-être, exaltation garantie !» , a tweeté Elon Musk. 

Fusée 

La fusée Starship, la plus grande fusée au monde, a décollé jeudi 20 avril 2023 au Texas. Mais peu de temps après son décollage, elle a explosé en plein vol, mais ce n'est pas un échec pour l'entreprise d'Elon Musk, SpaceX, puisque l'objectif était de réussir le décollage de la fusée.

Particularité

La grande particularité du Starship est d'être une fusée multifonction. Là où la plupart des lanceurs ont des objectifs bien définis, le Starship est conçu pour envoyer des satellites en orbite basse, transporter des astronautes, et même servir de « station-service » de l'espace, pour que les autres fusées puissent se ravitailler en carburant. 

Développer

« Ce que nous cherchons à développer, c'est un moyen de transport généralisé pour de grandes quantités de masses ou de gens n'importe où dans le système solaire », a assuré Elon Musk. Et en particulier vers Mars, le but ultime de SpaceX.

Xavier Pasco

« En fait, il n'y a pas un Starship, il y a des Starship », résume Xavier Pasco, directeur de la Fondation pour la recherche stratégique et spécialiste de la politique spatiale américaine. 

Programme

« Mais pour l'instant, il s'inscrit plutôt comme un soutien à Artémis, le grand programme américain de retour sur la Lune. » Starship a été sélectionné pour conduire les astronautes de la NASA sur la Lune en 2025. 

Starship

Contrairement aux fusées conventionnelles, qui sont « perdues » une fois envoyées dans l'espace, Starship sera réutilisable. Il devrait même l'être encore plus que les précédents lanceurs conçus par Elon Musk.

Caractéristique

Cette caractéristique permettra de réaliser des économies et ainsi, de prévoir plusieurs lancements. « Le Starship est la première fusée qui correspond à une ère d'industrialisation de l'espace », commente Xavier Pasco. 

Fonctionnel

« Quand il sera fonctionnel, on pourra imaginer plusieurs tirs de Starship par semaine, alors que la NASA ne réalise que deux ou trois tirs par an actuellement. » 

Puissante 

La plus puissante du marché ? Le Starship devrait également révolutionner la catégorie des lanceurs lourds. Il est prévu pour envoyer une centaine de tonnes en orbite basse. À titre de comparaison, Falcon-9, son prédécesseur chez SpaceX, ne peut envoyer que quinze à seize tonnes. 

Concurrence

« Si Starship fonctionne, il sera sans concurrence réelle pendant des années », estime Xavier Pasco. Au grand dam de Jeff Bezos, patron de Blue Origin et principal concurrent de SpaceX. 

Jeff Bezos

« Jeff Bezos n'a pas vraiment abandonné la course, mais il a du retard. Pour l'instant, il ne possède même pas l'équivalent du Falcon-9 fonctionnel », indique le spécialiste. 


Découverte incroyable d'un diamant à la valeur inestimable dans une météorite

2000002982373Structures cristallines en diamant jamais vues auparavant. image d'illustration.

Une découverte à peine croyable ! Dans une météorite qui s’est écrasée sur la terre, il y a 50 000 ans, des scientifiques ont détecté, fin février 2023, une structure microscopique étrange et entrelacée d’une valeur inestimable, encore plus rare, celle-ci était elle-même au sein de structures cristallines en diamant jamais vues auparavant.

 

Découverte

 

C’est une découverte d’une valeur inestimable qu’on fait des scientifiques en étudiant la météorite « Diablo Canyon », qui a frappé la surface de la terre il y a 50 000 ans. 

Diamants

À l’intérieur de cette dernière, se trouvent des diamants découverts pour la première fois en 1891. Mais c’est au cœur de ces structures cristallines en diamants que les chercheurs ont mis à jour, une structure microscopique étrange et entrelacée qui n’a jamais été vue auparavant.

Arizona

Découvert en Arizona en 1891, nous venons donc seulement de nous rendre compte de l’importance de cette pierre spatiale. 

Formation

Et ce, pour une simple raison, le diamant formé dans la roche n’a rien à voir avec le procédé "classique" de formation des diamants dans le sol terrestre, la plupart des diamants connus se sont formés à environ 150 kilomètres sous la surface de la Terre, où les températures atteignent plus de 1 093 degrés Celsius, les atomes de carbone de ces diamants bien connus sont disposés en forme cubique.

2000002982373Canyon Diablo meteorite.

Météorite

Diamants incroyables au cœur de cette météorite, il faut savoir que la plupart des diamants connus par les humains se sont formés à environ 150 kilomètres sous la surface de la terre, à un endroit où les températures extrêmes peuvent atteindre plus de 1093 °C. 

Atomes

Les atomes de carbone de ces diamants sont disposés en forme cubique, alors que ceux de lamétéorite, appelés lonsdaleite du nom de la cristallographe britannique Dame Kathleen Lonsdale ont une structure cristalline hexagonale.

Scientifiques

Même si des scientifiques ont réussi à en créer en laboratoire, une telle structure se forme uniquement lorsque des astéroïdes frappent la terre à une vitesse extrêmement élevée, provoquant des chaleurs tout aussi extrêmes et propice à la formation de ces diamants.

Intrigué

Mais ce qui a particulièrement intrigué les chercheurs, c’est la découverte d’excroissances d’un autre matériau à base de carbone, le graphène, imbriquées au sein de ces structures hexagonales du diamant. 

Diaphite

Ces excroissances, connues sous le nom de diaphite, suggèrent que ce matériau peut être trouvé dans d’autres matériaux carbonés et donc utilisé comme ressource.

Découverte 

Découverte d’une grande utilité, en effet, le graphène peut faire l’objet de nombreuses applications potentielles, de par sa légèreté, sa solidité, sa transparence, sa conductivité et sa finesse, un million de fois plus fin qu’un cheveu humain. 

Technologies

Il pourrait un jour être utilisé dans le domaine médicamenteux, pour fabriquer des appareils électroniques plus petits avec des vitesses de charge ultrarapides ou même pour inventer des technologies plus rapides et plus flexibles, ont déclaré les chercheurs.

Graphène

La découverte de ce graphène au sein de la météorite va ainsi permettre aux scientifiques d’en apprendre davantage sur son processus de formation et ainsi espérer pouvoir en fabriquer en laboratoire.


La NASA cherche des idées pour savoir où sur Mars le prochain saut de géant aura lieu

2000002982373Programme d'exploration de Mars.

La NASA fait avancer le voyage vers Mars en entamant la conversation sur l'endroit où les humains atterriront un jour, l'agence a organisé une conférence en octobre 2015 pour recueillir des propositions sur des zones de la planète rouge qui seraient d'une grande valeur pour la recherche scientifique tout en fournissant des ressources naturelles pour permettre aux explorateurs humains d'atterrir, de vivre et de travailler en toute sécurité sur Mars.

 

Site

 

Le premier atelier de la NASA sur le site d'atterrissage et la zone d'exploration pour les missions humaines à la surface de Mars s'est tenu du 27 au 30 octobre au Lunar and Planetary Institute de Houston, la conférence a lancé le processus de sélection des sites sur Mars que les engins spatiaux Mars Reconnaissance Orbiter et Mars Odyssey de la NASA.

Missions

Ainsi que toutes les futures missions au cours des prochaines décennies, pourraient ensuite imager davantage pour créer de meilleures cartes et fournir des données scientifiques précieuses sur ces zones d'exploration potentielles.

Engager 

La NASA espère engager des scientifiques et des experts lors de la conférence, favorisant la collaboration entre les équipes qui permettront aux humains de vivre et d'explorer Mars dans les décennies à venir.

Zones

Les "zones d'exploration" potentielles devront offrir des recherches scientifiques convaincantes tout en fournissant des ressources dont nos astronautes pourront tirer parti lors de leur découverte de la planète rouge. 

Explorateurs

Les premiers explorateurs devraient être limités à environ 60 miles (100 km) de voyage depuis leur site d'atterrissage en raison des besoins en technologie de survie et d'exploration.

Fonctionnement

L'espérance de vie des engins spatiaux MRO et Odyssey existants étant limitée, la NASA est impatiente de profiter des années de fonctionnement restantes de ces imageurs martiens pour rassembler des zones d'exploration potentielles tandis que l'engin spatial, déjà bien au-delà de sa durée de vie de conception, est encore opérationnel. les efforts de la NASA pour développer les connaissances et les capacités nécessaires à l'envoi d'humains sur Mars sont en cours aujourd'hui.

Engins

Avec des engins spatiaux surveillant Mars depuis l'orbite et des rovers à la surface, la Station spatiale internationale étant utilisée pour tester des systèmes et en savoir plus sur les impacts sur la santé des voyages spatiaux prolongés. 

Essais

Et le développement et les essais de la prochaine génération de lanceurs et de véhicules d'équipage la fusée Space Launch System et le vaisseau spatial avec équipage Orion en cours.

Connaissances

En explorant le chemin vers Mars, nous acquérons de nouvelles connaissances et capacités qui amélioreront la vie ici sur Terre, dès maintenant. 

Travail

Ce travail préliminaire sur les sites d'atterrissage potentiels facilitera le dialogue sur ce prochain pas de géant dans l'expérience humaine.

2000002982373

Global CTX Mosaic of Mars Impact Craters.

Endroits

En prévision d'envoyer un jour des humains sur Mars, la NASA a commencé à chercher des endroits appropriés pour que les humains atterrissent, l'agence recherche des sites à haute valeur scientifique qui fourniraient également des ressources permettant aux explorateurs humains d'atterrir, de vivre et de travailler sur Mars. 

Ressources

Les ressources naturelles d'origine locale telles que l'eau et l'oxygène sont cruciales pour que les humains explorent Mars, l'eau liquide pourrait potentiellement être extraite de la glace du sol (à la surface ou enfouie sous la surface), de l'atmosphère ou des minéraux hydratés, l'oxygène peut être généré à partir du dioxyde de carbone qui constitue la majeure partie de l'atmosphère de Mars. 

Oxygène

La mission du rover Mars 2020 comprendra un instrument (MOXIE) pour démontrer la technologie de génération d'oxygène, il existe plusieurs raisons stratégiques, pratiques et scientifiques pour que les humains explorent Mars. 

Accessible

Parmi eux, nous savons que Mars est l'endroit le plus accessible du système solaire, de plus, l'exploration de Mars offre la possibilité de répondre à des questions sur l'origine et l'évolution de la vie, et pourrait un jour être une destination pour la survie de l'humanité.

Exploration

Au sens stratégique, l'exploration de Mars démontre notre leadership politique et économique en tant que nation, améliore la qualité de vie sur Terre, nous aide à en savoir plus sur notre planète natale et étend le leadership américain dans l'exploration pacifique et internationale de l'espace.

Unique

D'un point de vue pratique, nous savons que Mars est unique dans tout le système solaire en ce sens qu'il s'agit d'une planète terrestre avec une atmosphère et un climat.

Géologie

Sa géologie est connue pour être très diversifiée et complexe (comme la Terre), et il semble que le climat de Mars a changé au cours de son histoire (comme la Terre).

Questions

Dans l'ensemble, bon nombre des questions clés de la science du système solaire peuvent être résolues efficacement en explorant Mars, cette entreprise sert également à inspirer la prochaine génération d'explorateurs et à élargir considérablement les connaissances humaines.

2000002982373Cette image montre l'affleurement rocheux que l'équipe scientifique de Persévérance appelle "Berea".

Propulsion

Un élément essentiel si la NASA veut un jour renvoyer des matériaux (ou des personnes) de Mars, le programme d'exploration de Mars de la NASA investit actuellement dans une technologie de propulsion et de guidage qui pourrait survivre au voyage vers Mars et ses environnements de surface difficiles avant d'être relancé dans l'espace. 

Carburant

Les moteurs-fusées hybrides utilisant du carburant à base de paraffine brûlé avec des oxydes d'azote liquides sont particulièrement prometteurs pour cette application. 

Commandes

Dans l'atmosphère mince de Mars, les commandes aérodynamiques telles que les ailettes ne seront pas efficaces, c'est pourquoi des investissements sont également réalisés dans le contrôle vectoriel de poussée par injection de liquide (LITVC).

Injecter

En utilisant de petits ports pour injecter l'oxydant liquide directement dans la buse à différents points, la direction du MAV peut être contrôlée rapidement et efficacement sans pièces mobiles, même dans la fine atmosphère de Mars.

Technologies

Le programme d'exploration de Mars de la NASA investit également dans des technologies permettant le transport en toute sécurité des matériaux de Mars à la Terre (par exemple, des technologies pour contenir des échantillons et des conteneurs d'échantillons pour les matériaux de Mars, ainsi que des technologies pour stériliser l'extérieur de ces conteneurs). 

Normes

Bien que l'on ne sache pas si la vie a jamais existé sur Mars, des études de concept pour le retour de matériel martien sont menées selon des normes de sécurité qui sont aussi élevées ou plus élevées que les normes utilisées pour le transport de matières dangereuses connues sur Terre. 

Stérilisation

Les technologies actuellement à l'étude comprennent des approches de stérilisation dans l'espace (par exemple, la stérilisation thermique localisée et la stérilisation au plasma).

Scellement

Ainsi que des technologies de scellement (par exemple, le brasage des métaux dans l'espace et le soudage explosif), la science et la technologie développées dans le cadre du programme d'exploration de Mars permettront aux humains d'explorer un jour la planète rouge.


On en sait un peu plus sur le mystérieux objet interstellaire aperçu en 2017

2000002982373Une représentation de la comète Oumuamua, réalisée par un artiste, et diffusée par l'Agence spatiale européenne.

Les scientifiques ont révélé que l'objet interstellaire baptisé « Oumuamua », aperçu en 2017 par un télescope à Hawaï, était bel et bien une comète. La thèse d'un vaisseau spatial extraterrestre écartée. 

Oumuamua

Dans un rapport publié ce mercredi 22 mars 2023 dans la revue scientifique Nature, des scientifiques ont établi que l'objet interstellaire « Oumuamua », aperçu pour la première fois en 2017 par un télescope à Hawaï, était en réalité une comète. 

Largeur

Affichant une largeur de cent mètres, « Oumuamua » (qui signifie « éclaireur » en hawaïen ?) avait suscité de nombreuses interrogations sur sa nature, auprès de la communauté scientifique. 

Avi Loeb

En effet, l'ancien directeur du département d'astronomie de l'Université de Harvard, Abraham dit « Avi » Loeb, avait largement soutenu l'explication d'un vaisseau extraterrestre, dans son livre, « Le premier signe d’une vie intelligente extraterrestre », paru en 2021.

Naturel

Pourtant, trois ans, auparavant, l'équipe de chercheurs du département d'astronomie de l'Université du Maryland avait annoncé que le premier objet interstellaire venu dans notre système solaire était bien naturel. 

Matthew Knigh

« L’hypothèse sur les vaisseaux spatiaux extraterrestres est amusante, mais notre analyse suggère qu’une multitude de phénomènes naturels peuvent expliquer Oumuamua », avait expliqué Matthew Knigh, codirigeant de l'enquête à l'époque. 

Traînée 

À la différence des comètes plus « traditionnelles », « Oumuamua » n'arborait pas de traînée lumineuse, constituée de gaz et de poussières, Cette caractéristique avait naturellement donné de la matière aux sceptiques et aux défenseurs de la thèse d'un vaisseau extraterrestre.

Jennifer Bergner

Dans la revue scientifique Nature, Jennifer Bergner, chimiste à l'Université de Californie à Berkeley, qui a dirigé les travaux récemment publiés, explique que cette absence de « queue » ou traînée lumineuse résultait uniquement de la composition de la comète.

Hydrogène

« Lorsque Oumuamua s'est approchée du Soleil, elle a libéré de l'hydrogène, qui reste moins massif que le monoxyde de carbone ou le dioxyde de carbone éjecté dans les comètes typiques. »

Élan

« Et n'aurait pas eu l'élan nécessaire pour tirer beaucoup de poussière avec elle, expliquant l'absence de virgule ou de queue », a précisé l'auteure de l'étude.

2000002982373Darryl Seligman.

Évacuation 

Jennifer Bergner précise également que cette « évacuation de l'hydrogène » permet donc d'expliquer le comportement étrange de la comète, qui, une fois entrée dans le système solaire, avait dévié sa trajectoire et en était ressortie. « Nous rapportons ici que l'accélération de Oumuamua est due à la libération d'hydrogène moléculaire piégé qui s'est formé par le traitement énergétique d'un H2 Corps glacé riche en O », peut-on lire dans l'explication de la récente étude.

Darryl Seligman

Le co-auteur du rapport, Darryl Seligman qui travaille lui à l'Université de Cornell (état de New York), soutient que « l’hydrogène piégé, est simplement l’explication la plus générique », afin de traduire scientifiquement l'accélération qu'a connue la comète.


Les échantillons de l'astéroïde Ryugu pourraient-ils déclencher une pandémie ?

2000002982373Une vue d'artiste de la panspermie. © Pablo Carlos Budassi, Wikipedia CC by-sa 4.0.

Les comètes et les astéroïdes sont considérés comme des mémoires du Système solaire et des processus prébiotiques qui ont peut-être apporté sur Terre les briques du vivant. 

Découverte

Mais certains chercheurs ont des théories plus vastes à ce sujet et il se murmure qu'une découverte en faveur de ces théories pourrait être bientôt publiée, en rapport avec les échantillons ramenés sur notre planète et en provenance de l'astéroïde Ryugu.

Yasuhiro Oba

Il y a peu une équipe internationale, dirigée par Yasuhiro Oba de l'Université d'Hokkaido au Japon, avait fait une annonce fascinante concernant des analyses des échantillons prélevés sur l'astéroïde Ryugu par la sonde Hayabusa-2 de la Jaxa, l'Agence spatiale japonaise. 

Échantillons

Rappelons que le 22 février 2019, Hayabusa-2 avait recueilli des échantillons de l'astéroïde Ryugu puis, le 5 décembre 2020, la capsule les contenant a atterri sur Terre. 

Laboratoires

Dans ces échantillons étudiés en laboratoires par les chercheurs japonais, la présence d'une base azotée particulière, propre à l'ARN, venait donc d’y être mise en évidence : l'uracile.

Étude

Plusieurs autres échantillons sont à l’étude un peu partout sur Terre actuellement, et il semblerait qu’une information circule en ce moment de façon virale, mais en « underground » dans le petit monde de l’exobiologie. 

Pincettes

L’information est à prendre avec des pincettes, mais du peu que l’on sait encore à ce sujet, elle a à voir avec des théories déjà avancées il y a presque 50 ans et qui avaient fait l’objet de la parution d’un livre par leur auteur, le célèbre astrophysicien et cosmologiste Fred Hoyle et son ancien thésard Chandra Wickramasinghe.

Chandra Wickramasinghe

Moins connu, que Fred Hoyle, Chandra Wickramasinghe est né au Sri Lanka en 1939. Il a commencé à travailler à Cambridge sous la direction de feu Sir Fred Hoyle et il s’est ensuite rapidement orienté vers l’étude de la nature de la poussière interstellaire. 

Théorie

En 1974, il a proposé pour la première fois la théorie selon laquelle cette poussière non seulement dans l'espace interstellaire, mais aussi les comètes était en grande partie organique, une théorie qui est maintenant soutenue par de nombreuses observations et qui résonne avec ce que Jean-Pierre Bibring avait expliqué au sujet de ce qu’il appelle des « organices » (contraction en anglais de « organic » et « ices », c'est-à-dire glaces en anglais) en ce qui concerne la comète 67P/Tchourioumov-Guérassimenko.

Microbes

Microbes et pandémies venus du cosmos ? Hoyle et Wickramasinghe ont fait un certain bruit médiatique en 1979 en publiant un ouvrage « Diseases from Space », où ils proposaient rien de moins qu’un bon nombre des maladies les plus courantes qui affligent l'humanité, telles que la grippe, le rhume et la coqueluche, ont leurs origines dans des sources extraterrestres.

Pandémies

Entendons-nous bien, les deux hommes ne soutenaient pas que des maladies, voire des pandémies mortelles, soient l’œuvre des petits hommes verts dans le but d’éradiquer l’Humanité, il se trouve simplement que Hoyle et Wickramasinghe se sont mis à soutenir des variantes de la thèse de la panspermie.

Germes

Il y a ainsi presque 150 ans, Lord Kelvin supposait que des germes de vie pouvaient voyager de planète en planète à bord de météorites résultant de l'impact de petits corps célestes sur ces planètes, impact suffisamment fort pour éjecter des blocs de roches contenant des formes vivantes microscopiques, les seules susceptibles de pouvoir résister à des transits interplanétaires, à l'abri dans ces roches.

Graines

Ainsi, il déclarait en 1871 : « Nous devons considérer comme probable au plus haut degré qu'il existe d'innombrables pierres météoriques portant des graines se déplaçant à travers l'espace. »

Pierres

« Si, à l'heure actuelle, aucune vie n'existait sur cette Terre, l'une de ces pierres qui tomberait dessus pourrait, par ce que nous appelons aveuglément des causes naturelles, conduire à ce qu'elle soit recouverte de végétation. ».

2000002982373L’azote moléculaire serait près de cinq fois moins abondant que ce que l’on pensait dans les nuages interstellaires, peut-être au profit de l’ammoniac.

Vivant 

Le vivant né dans les nuages interstellaires ? À partir des années 1970, on commençait à avoir des indications sérieuses de l’existence de molécules organiques dans les nuages moléculaires denses, froids et poussiéreux. 

Poussières silicatées

On pense largement maintenant que dans des gangues de glace entourant de poussières silicatées, il se forme une chimie prébiotique active. 

Vie

Hoyle et Wickramasinghe, troublés par l’apparition rapide de la vie sur Terre il y a probablement un peu plus de 3 milliards d’années, en déduisaient que la Vie n’avait pas eu le temps d’évoluer aussi vite selon le schéma de type darwinien habituel.

Histoire

Et que son histoire était plus ancienne, prenant naissance justement déjà dans les poussières glacées du milieu interstellaire avant d’être amenée sur les planètes par des comètes ou des astéroïdes.

Arrivée

Selon eux, les brusques survenues de nouvelles maladies seraient donc au moins parfois le fait de l’arrivée sur Terre, sous une forme ou sous une autre.

Objet

Par exemple à l’occasion de l’arrivée d’un objet interstellaire comme "Oumuamua", de nouvelles souches virales ou bactériennes.

Lettre

De facto, le 24 mai 2003, le célèbre journal de médecine The Lancet a publié une lettre de Wickramasinghe signée conjointement par le microbiologiste britannique Milton Wainwright et le cosmologiste indien Jayant Narlikar (autre ancien thésard de Hoyle).

Virus

Dans laquelle ils spéculaient que le virus qui cause le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) pourrait être d'origine extraterrestre.

Traduction

Traduction du début de cette lettre : « Nous avons collecté les échantillons dans des cryo-échantillonneurs stériles spécialement conçus, transportés à bord d'un ballon lancé depuis l'Indian Space Research Organization/Tata Institute Balloon Facility à Hyderabad, en Inde, le 21 janvier 2001. »

Bien que le biomatériau récupéré contienne des micro-organismes, tels qu'évalué avec des tests microbiologiques standards.

Nous n'avons pu cultiver que deux types ; tous deux semblables à des espèces terrestres connues. Nos découvertes appuient l'idée que le matériel microbien tombant de l'espace est, au sens darwinien, hautement évolué, avec une histoire évolutive étroitement liée à la vie qui existe sur Terre. 

Nous estimons qu'une tonne de matière bactérienne tombe chaque jour sur Terre depuis l'espace, ce qui se traduit par quelque 1019 bactéries, soit 20 000 bactéries par mètre carré de la surface de la Terre. 

La plupart de ces matériaux s'ajoutent simplement à la flore microbienne incultivable ou incultivée présente sur Terre. »

Précisons tout de suite que The Lancet allait rapidement publier par la suite trois lettres d’autres chercheurs réfutant cette interprétation des données.

Mais ce qui semble maintenant agiter en sous-terrain le monde de l’exobiologie, c’est qu’après des bases de l’ARN, une équipe de chercheurs soit parvenue à détecter de l’ARN du coronavirus SARS-CoV-2…



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Date de dernière mise à jour : 07/10/2023